Toulouse : naissance d’Oussama, mère voilée, père menaçant qui impose une prière vers La Mecque…

Nous venons de recevoir ce témoignage d’un gynécologue obstétricien d’une clinique de Toulouse, dont nous préférons, pour sa sécurité, taire l’identité.

Moment de grand bonheur en salle de naissance

Accouchement de rêve….

Refus de péridurale. Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu’un homme s’en occupe (bien que largement prévenu à l’avance….Document en cours de grossesse, explications orales….) De garde, j’y vais quand même et m’impose. Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le père barbu qui donne les ordres à tout le monde… L’enfant se prénomme joyeusement Oussama; juste à sa sortie, le père s’est prosterné et a fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu’il avait préalablement repérée). Puis des chants religieux aux oreilles de l’enfant, à droite, à gauche… Et la mère , il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur…

Ras le bol de cela.

La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin. Dans la ville de Mohamed Merah, je m’interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet. Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d’un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d’un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient et meurtris des drapeaux algériens qui étaient seuls brandis sur la place du Capitole le jour de la victoire de François Hollande, ceux d’un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes…Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l’avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites.

Amicalement. 

Un tel témoignage pose plusieurs questions.

Est-il normal qu’un père qui donne des ordres au personnel médical, et a une attitude menaçante, ne se fasse pas expulser de la salle d’accouchement, par mesure de sécurité ?

Est-il normal qu’une personne, quelle que soit sa nationalité, qui entend interdire qu’un homme accouche sa femme, puisse rester en France ?

Est-il normal qu’en France, on accepte le prénom Oussama, qui, dans le contexte actuel, n’est ni plus ni moins qu’un appel à la guerre contre les non-musulmans ?

Quelle éducation va recevoir cet enfant ? Sera-t-il éduqué selon les lois d’une République qui intègre, ou d’un islam qui désintègre pour mieux conquérir ?

Comment cet enfant se comportera-t-il à l’école avec les non-musulmans et les petites filles ? Respectera-t-il l’autorité des enseignants ?

Le jeune Toulousain Oussama sera-t-il élevé dans le culte de Mohamed Merah ?

Quand son sait qu’en Grande-Bretagne, les auteurs des attentats-suicides du métro de Londres étaient tous des enfants de nationalité britannique, nés au pays, ne convient-il pas de s’interroger, avec l’éducation que l’enfant Oussama va recevoir dans les écoles coraniques toulousaines, sur des risques analogues qui attendent la France ?

Quand Manuel Valls, en toute connaissance de cause, annonce, en période de chômage de masse, un accroissement de l’immigration musulmane, notamment en faveur de l’Algérie et du Maroc, mesure-t-il les conséquences de sa décision pour la sécurité du pays et des Français, même si, fort heureusement, nombre de nouveaux venus auront l’intention de s’intégrer… Mais les autres ?

Combien d’Oussama en France, seront éduqués, dans les années à venir, avec les principes qui animent son père ?

Lénine disait que les capitalistes étaient assez stupides pour vendre la corde qui servirait à les pendre. Les dirigeants français font mieux : ils donnent la nationalité française, de l’argent (le nôtre) et des prestations sociales à ceux qui, comme ce père, ne rêvent que d’en faire leurs esclaves, leurs dhimmis !

Paul Le Poulpe