Restaurants : Philippot pulvérise le guignol Manigold, caniche de Macron

6 février 2021

Ça performe en ce moment. Les cons sont de sortie. Nous sommes dans le grandiose.

Les restaurateurs qui devaient ouvrir, à part quelques-uns, ont capitulé avant la bataille. On devait voir ce qu’on allait voir… On a vu !

Quelle bande de clowns, quand on annonce qu’on passe à l’action, on le fait, on ne s’écrase pas au dernier moment avec la peur de perdre les aides.

« Tu comprends, on va perdre les aides, le gouvernement, quand même, il fait des efforts et on risque la fermeture administrative »…

Les gars, vous n’êtes pas fermés depuis plusieurs mois, ôtez-moi d’un doute, ça change quoi ? En plus vous êtes en train de nous expliquer que l’assistanat, finalement, c’est bien ; c’est drôle, en temps normal vous passez votre temps à gueuler contre les charges sociales, les impôts, OK, je crois niveau crédibilité, désormais vous êtes proches de zéro.

Tout à l’heure j’ai assisté au débat Manigold-Philippot, ceci m’a confirmé dans l’idée que le premier nommé est une bordille de première classe.

Il a passé son temps à insulter Philippot – il a montré son vrai visage – à vanter les aides et surtout déconseiller ses collègues d’ouvrir, sinon ils vont tout perdre, il a même appelé à son secours le grand penseur Jérome Rodriguez. Philippot a eu beau jeu de rétorquer à ce branque qu’il a ouvert un compte «  restons ouverts », mais qu’il a demandé aux restaurateurs de rester fermés, qu’en fait il ne roule que pour lui et qu’il est pour le passeport sanitaire.

https://actu.orange.fr/societe/videos/face-a-face-tendu-entre-florian-philippot-et-stephane-manigold-ce-matin-sur-cnews-dans-morandini-live-video-CNT000001wSuVy.html

Ce Manigold, je le rappelle, n’est qu’un investisseur dans des brasseries parisiennes, là où tu manges cher des produits pas exceptionnels et avec un personnel subsaharien. C’est un ancien marchand de bagnoles, en fait il est comme les médecins de plateaux en mission commandée au service du pouvoir.

En URSS, il aurait été un parfait syndicaliste. Le commissaire politique qui allait expliquer aux travailleurs mécontents qu’il fallait taire leurs revendications et avoir confiance dans le parti qui, lui, sait ce qui est bon pour le peuple, sinon goulag…

Manigold, Manigoulag, je suis content de moi…

C’est le Karine Lacombe de la restauration. Ce garçon a de l’avenir…

On va rester dans le domaine du loisir, du tourisme. Nous avons une perle dans ce gouvernement de baltringues, c’est Élisabeth Borne. Je vous laisse regarder la vidéo :

Je crois que comme dans les boîtes US, elle veut sa photo comme employée du mois. Avec nous elle a gagné et pourtant, il y a de la concurrence et du top niveau dans la SA Macron.

À mon avis, elle a sniffé le stock de Pfizer, c’est pour ça qu’il y a pénurie de vaccins.

Donc son gouvernement interdit les remonte-pentes, les restos sont fermés bien sûr. Les amateurs de sport d’hiver n’ont plus trop envie d’y aller, mis à part se geler les couilles, je n’y vois pas l’intérêt.

En plus la saison est sur la fin.

Et elle t’explique sans rire qu’il faut embaucher… il n’y a pas d’activité mais il faut embaucher…

C’est l’URSS… avec de faux emplois, de faux salaires.

Le plus grandiose est qu’elle te fait le topo, vous embauchez et vous les mettez en chomedu partiel et c’est l’État qui paie, ça coûte rien…

Élisabeth, ce que tu proposes, c’est juste une escroquerie, un détournement de fonds publics, une arnaque, tu sais que c’est du pénal ?

Bien sûr l’objectif est simple : baisser les stats du chômage et acheter la paix sociale.

C’est digne d’un pays du tiers-monde. C’est la clochardisation des esprits.

Histoire de clore (provisoirement) ce festival de jobardises, le meilleur pour la fin, ça a un petit rapport avec le côté festif :

Et tout ça en une journée ! La compétition est rude.

Paul Le Poulpe