Cinéma : Les parasites s’inquiètent

Avec le précédent argentin, ils commencent à baliser.

Javier comme promis tranche dans les dépenses, il n’y a pas tromperie comme parfois ça arrive.

Il avait prévénu qu’il  préférait aider les gens qui sont à la ramasse plutôt que les privilégiés du système qui réalisent des films que personne ne va voir.

L’Argentine jusqu’ici c’est 243 films/an, plus que les US… pour des résultats  similaires à la France en nombre de spectateurs.

Il vient de sabrer les crédits du CNC local, une idée gauchiste française qui s’est exportée dans les pays gérés par des corrompus socialos et forcément les intéressés crient à la censure, au retour des zeures qui n’en finissent plus de revenir, à celui des généraux, qui inspirés d’une  autre invention française expérimentée en Algérie, organisaient des baptèmes de l’air au-dessus de l’Atlantique.

C’est que l’heure est grave et ce précédent pourrait des idées nauséabondes, le grisbi c’est sacré, faut pas y toucher !

Javier c’est Betty Monde latina, il n’en fallait pas plus pour que les  Che de St-Germain-Des-Près, entre deux lignes de harina do Colombia, se levassent et crient “No pasaran”, en brandissant leur arme fétiche, la pétition.

C’est leur sens du sacrifice, le pays est faillite, il y a 50% de pauvres et ces  salonards révolutionnaires subventionés  pétitionnent pour sauvegarder leurs intérêts de parasites sociaux.

Les  pauvres et les miséreux ils les aiment, dans leurs films…

Voilà pourquoi ils veulent leur préservation et leur mutiplication.

Honnètement en France, ils jouent à se faire peur, c’est pas Rachida qui va toucher à ce pactole, elle a trop besoin de ces consciences auto-proclamées pour gagner Paris et le RN a trop peur d’évoquer le sujet.

En réalité, Javier n’interdit  pas le cinéma, il vire le CNC local qui est en déficit et il leur suggère de se débrouiller en se finançant avec le pognon du privé, de prendre des risques comme tout industriel, tout simplement !

En fait ces saltimbanques fonctionnaires sont nostalgiques de la monarchie, du bon vieux temps où le roi finançait avec sa cassette ses artistes, sauf que Molière n’est plus…

“Un collectif de professionnels du cinéma, dont Jacques Audiard, Marina Fois ou Agnès Jaoui, Vincent Lacoste s’oppose aux mesures liberticides du gouvernement populiste de Milei qui mettent en danger une industrie et un art apprécié dans le monde”

 

Paul Le Poulpe