En voulant criminaliser l’islamophobie, Desir se comporte en vulgaire agent de l’étranger

« L’islamophobie est une atteinte à la République, à la laïcité, aux principes mêmes de notre vivre-ensemble ». Ce ne sont pas les porte-paroles du CCIF (dont la campagne est financée par le milliardaire Soros) qui s’expriment. Pas davantage une grenouille de mosquées comme Moussaoui ou Boubakeur.

 

C’est le nouveau secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, né Jean-Philippe, qui se distingue une nouvelle fois en léchant les babouches des disciples de la religion d’amour, de tolérance et de paix.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=4OaYyJMqyQs[/youtube]

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Naturellement, comme son mentor politique Julien Dray, il ose demander la dissolution du Bloc Identitaire, et renvoie dos-à-dos la paisible occupation du chantier de la mosquée de Poitiers avec les agressions antisémites (dont il oublie de dire, comme l’avait constaté le président de la Licra lui-même, qu’ils viennent presque tous de musulmans, et peuvent aller jusqu’aux meurtres de Merah). Le Parti socialiste, par son candidat François Hollande, a osé faire campagne sur le thème de la laïcité, imposture immédiatement relevée par Robert Albarèdes, qui avait deviné que François Hollande serait le fossoyeur de la loi de 1905, au nom de toute la gauche

http://ripostelaique.com/hollande-limposteur-sera-le-fossoyeur-de-la-loi-de-1905-au-nom-de-la-gauche.html

Avec un médiocre premier secrétaire comme Jean-Philippe Desir, qui, en appelant ouvertement Normal 1er à rendre public un appel contre l’islamophobie (que bien évidemment il amalgamera à l’antisémitisme), le Parti socialiste se fait le petit télégraphiste de l’OCI, qui mène une bataille acharnée, dans toutes les instances internationales, pour interdire toute critique de l’islam, amalgamée à du racisme. Il trahit les idéaux laïques, qui se sont construits par la libre critique de tous les dogmes, donc de toutes les doctrines religieuses, islam y compris. En relayant des revendications parties de La Mecque, il se comporte, sur le territoire français, en agent de l’étranger. Mais le PS peut-il refuser quelque chose à ceux qui, en votant à 93 % pour son candidat (même chiffre que les Noirs pour Obama) lui ont permis d’être élu à l’Elysée ?

On se souvient qu’à Alger, dès le début de son mandat, Nicolas Sarkozy s’était déshonoré en faisant la même comparaison. Preuve que ce n’était pas une maladresse, il avait renouvelé le propos en 2009, à Orléans. Une nouvelle preuve, s’il le fallait, de la grande similitude entre l’UMP et le PS

http://ripostelaique.com/Antisemitisme-et-islamophobie-le.html

Comme président de Sos Racisme, Jean-Philippe Désir avait orchestré, avec son copain Dray, une idéologie qui interdisait toute interrogation sur l’immigration, sous peine d’être taxé de raciste. Il préférait alors le « pote » au Gaulois, illustrant déjà la politique de préférence étrangère décrite par le journaliste Hervé Algallarondo. Trente ans après, avec les mêmes méthodes, il rêve d’imposer les mêmes diktats à la société française, en remplaçant immigration par islam, et le pote par l’imam.

Qualifié à Orange de « petit kapo des camps de rééducation anti-racistes » par le président du Bloc Identitaire, Fabrice Robert, Jean-Philippe Désir n’est rien d’autre, comme les Delanoé-Ayrault-Ries, qu’un médiocre islamo-collabo déguisé en socialiste, un sombre commissaire politique déguisé en homme de gauche un de ces bureaucrates qui ont fait merveille en URSS, en Chine et au Cambodge, au nom de l’émancipation du genre humain.

Paul Le Poulpe