Souleymane et Fatou ne s’appelaient pas Vladimir et Marine, mais leurs victimes se nomment bien Kilian et Jessica

Le 23 novembre dernier, un drame abominable a eu lieu, gare de Yerres, sur la ligne du RER D. Une jeune fille en a poussé une autre, volontairement, quand la rame entrait en gare. La victime a eu les deux jambes sectionnées.

http://www.fdesouche.com/334756-yerres-91-une-adolescente-poussee-sous-un-rer

Au-delà de ce révoltant fait divers, le traitement médiatique qui a suivi cette affaire mérite qu’on s’y arrête, tant il nous rappelle celui opéré lors d’un autre fait divers, en Bretagne, en juin dernier

http://ripostelaique.com/pour-le-monde-un-assassin-denfant-ne-doit-pas-sappeler-souleymane-mais-vladimir.html

A Yerres, on nous a d’abord présenté la chute de la victime comme la conséquence d’une bagarre. Tout comme on nous raconte que les chrétiens égorgés par les islamistes, au Nigeria, sont la conséquence de conflits inter-religieux, ou comme on nous a d’abord présenté la mort du jeune Kilian comme la conséquence d’une bagarre qui aurait mal tournée.

Ensuite, on a nié la différence d’âge entre la victime et le bourreau. A Yerres, on nous a longtemps expliqué que la première avait 17 ans, et la seconde 15 ans. Il s’avère que c’est le contraire. A Rennes, on nous a longtemps caché que la victime n’avait que 13 ans, et le coupable 17 ans, et que loin d’être une bagarre qui aurait mal tournée, ce fut une strangulation mortelle d’un jeune adulte contre un jeune garçon.

Le coup des prénoms modifié offre, lui aussi, des similitudes intéressantes, mais surtout crapuleuses, quant aux méthodes des journaleux. A Rennes, Le Monde a appelé le coupable, par ailleurs d’origine tchetchène, Vladimir. Ce n’est pas neutre, Vladimir, c’est le prénom de Poutine, la bête noire de nombre de plumitifs de la presse française, qui se pâment devant la provocation des Pussy Riot, en plein culte orthodoxe, contre le chef de la Russie, mais lynchent Génération Identitaire pour une simple visite de chantier sur le toit d’une mosquée en construction, à Poitiers. Pour le drame de Yerres, les plumitifs du Parisien ont fait mieux dans le prénom : Marine. Naturellement, donner ce prénom à une personne qui pousse une jeune femme sous une rame de RER, qui se trouve être celui de la présidente du FN, autre bête noire de prétendus journalistes vendus au système, serait le fruit d’un pur hasard. Or, si Vladimir s’appelait Souleymane, Marine s’appelle Fatou.

Reste à s’interroger sur plusieurs choses, au-delà des minables manœuvres de larbins qui ne trompent plus grand monde, pour cacher à nos compatriotes que les assassins sont souvent issus de l’immigration post-coloniale, et que les victimes sont souvent des Européens d’origine. Imagine-t-on ce qu’aurait été le cirque de Libération, du Monde, du Nouvel Observateur, de Médiapart ou de Rue 89 si Jessica avait poussé Fatou, si Kilian avait étranglé Souleymane ?

http://ripostelaique.com/les-assassinats-dalicia-audrey-et-killian-par-abdallah-et-souleymane-nont-rien-dun-hasard.html

Est-ce vraiment un malheureux hasard, ou le fruit de la haine véhiculée, dès le berceau, à des centaines milliers de jeunes personnes, nées en France, français de papier, à qui on raconte que les non-musulmans sont des êtres inférieurs aux musulmans, que la France deviendra un jour Terre d’Islam, et que tout est bon pour parvenir à cet objectif. Hasard malheureux que ces centaines de milliers d’autres jeunes personnes, nées en France, françaises de papier, à qui on raconte que les « face de craies » sont les descendants des colonialistes qui sont les uniques responsables de la détresse du pays de leurs ancêtres, et qu’on consolide dans une haine raciste des Français d’origine ? Hasard si l’assassin de Toulouse et Montauban s’appelait Mohamed Merah ? Hasard si, en toute impunité, des nés musulmans peuvent se permettre de traiter leurs camarades de classe de « Sales kouffars », ou de « sales juifs » en toute impunité, ou que d’autres « jeunes issus de la diversité » peuvent les traiter de « Sales blancs » sans le moindre risque, voire les agresser quotidiennement ? Hasard si la majorité de nos prisons sont remplis majoritairement de détenus issus de l’immigration post-coloniale ?

Cela commence par les insultes, les coups et le racket, cela finit par l’étranglement de Kilian par Souleymane, ou par la poussée criminelle sous une rame de RER de Jessica par Fatou.

Kilian est mort, pas de chance, il a croisé la route de Souleymane, et a refusé de baisser les yeux. Toujours pas de chance, il était en sport études, n’avait que 13 ans, et espérait devenir professionnel de football. Jessica n’avait que 15 ans, pas de chance, elle a croisé la route de Fatou. Elle avait été placée dans une famille d’accueil, et était en train de réussir sa vie, malgré un début difficile. Si elle survit, elle sera privée de ses jambes toute son existence. Imagine-t-on la vie d’une gamine privée de mobilité, à la fleur de l’âge, à cause d’une agression gratuite ? Souleymane et Fatou, eux, ont toute leur vie devant eux, une fois qu’ils se seront fait tirer les oreilles par Taubira et des militants politiques déguisés en juges.

Un jour, et le plus tôt sera le mieux, il faudra demander des comptes à ceux qui, en niant le racisme anti-blancs et anti-Français, portent la responsabilité de la mort de nombre de Kilian, et des agressions souvent gratuites de trop de Jessica. Il faudra surtout juger ceux qui, en militant ouvertement pour une immigration de masse, sans intégration, en période de chômage, se sont rendus coupables de non-assistance à peuple français en danger.

Paul Le Poulpe