Virginie sur la mauvaise pente. Il paraît que c’est une spécialiste de la descente des pistes poudreuses.
C’est une poule pondeuse en matière de tribunes à la con qui font frétiller la bien-pensance islamo-gauchisto-immigrationniste. Elle est la représentante typique de cette caste bourgeoise dégénérée qui prétend donner des leçons de maintien au populo. Franchement, j’ai jamais compris l’importance donnée à cette pécore prétendue écrivaine, je préfère dire écrivainulle.
Profitant des émeutes raciales aux USA et en France, elle s’est fendue d’un texte vengeur dénonçant le RACISME qui est bien entendu la marque de fabrique des Blancs.
Salauds de Blancs, en plus s’ils sont hétéros, cathos, c’est le top.
C’est le charabia habituel culpabilisateur, un grand classique, ça manque même d’imagination. Nous allons vous faire grâce de son texte complet, parce que pour une championne de descente de poudreuse, elle fait une faute de carre d’entrée, dès le départ. C’est le truc à la con.
Elle s’était bien entraînée, préparée, là c’était le texte de sa vie. Patatras, le jour des JO, au bout d’une seconde, c’est terminé !
“Je ne me souviens pas avoir jamais vu un homme noir ministre. Pourtant j’ai 50 ans, j’en ai vu, des gouvernements”
https://pbs.twimg.com/media/EZqXO7vWoAADuwz?format=jpg&name=small
https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-lettre-de-virginie-despentes-a-ses-amis-blancs-qui-ne-voient-pas-le-probleme_fr_5ed8b5bdc5b6ea15610b9538
Virginie, change de fournisseur, c’est un conseil d’ennemi.
Pour vous situer le niveau mental et moral de cette péronnelle, il y a quelques mois, Chloé des Lysses l’avait remise à sa place.
Paul Le Poulpe
LETTRE DE CHLOÉ DES LYSSES À VIRGINIE DESPENTES
En mai 2005, le journal Libération annonçait la mort brutale à quarante-deux ans de Gérard Jubert, fondateur du magazine L’Éléphant rose, mon ami depuis 1993 et mon compagnon depuis 2002. Nous vivions ensemble, de manière informelle, avec ses deux enfants. Quelques heures plus tôt, j’avais découvert son corps, dans notre lit, sans vie. Vision d’horreur. Je me suis retrouvée veuve et aussi sans toit puisque l’appartement a été mis sous scellés par la police.
Photographe à la réputation sulfureuse en raison de films pour adultes tournés en 1993, je gagnais très mal ma vie, ne recevais aucun soutien de ma famille et me noyais dans une procédure de divorce entamée en 2001. J’étais fragilisée. Philippe Manœuvre, votre ex-fiancé (ceci n’est pas une atteinte à votre vie privée puisque votre couple était médiatisé), m’a appelée. Après m’avoir adressé ses condoléances, il m’a dit : « Je vais t’aider ». Il a fait ce qu’aucune « féministe » n’a osé. Car certaines parlent, publient des tribunes « féministes », considèrent les hommes comme des monstres, des violeurs, des sales types qui abusent de leur pouvoir, mais qui agit quand une femme est en danger de mort, ce qui était mon cas, face à un accident de la vie, une grande précarité, l’absence de famille ? Qui est là ? Qui tend la main ? Les hommes de pouvoir, souvent.
Certainement pas vous. Un soir, au « Baron », cette même année, vous m’avez convoquée. Vous m’avez proposé de tourner un film pornographique dont vous seriez la réalisatrice. Cette proposition m’a troublée dans la mesure où j’avais tout fait pour être autre chose qu’une femme objet. J’ai en effet repris mes études – je n’ai pas mon bac –, devenant pigiste, et, quand cela ne suffisait pas à remplir le réfrigérateur, j’ai été serveuse dans la restauration. À l’époque, je vous admirais. N’ayant toutefois pas lu vos livres, consacrant alors mon temps à rattraper mon retard avec des écrivains morts. Cependant, vous étiez un modèle. Une femme libre partie apparemment de rien et devenue un auteur à succès. Le guide de toute une génération, et un critique musical punk de grande qualité.
Après avoir refusé vos propositions (ou avances), j’ai rejoint votre ex-fiancé et toute une bande de gais lurons, hommes de pouvoir, venus promouvoir des livres dans ce club, le « Baron ». J’ai bu et j’ai ri toute la soirée pour oublier combien le destin peut vous enlever ceux que vous aimez, cruellement, sans prévenir. Vous-même auriez dû l’entendre, puisque Karen Bach, actrice de votre film Baise-moi, s’est donné la mort. Où étiez-vous, d’ailleurs, le jour où sa tentation du suicide devint irréversible ?
Vous faites, à l’époque, partie du club telle une Adèle Haenel, fulminant, avec votre démarche hommasse. Personne n’a compris. Vous, le chantre du punk, du rock ? Mais le rock, c’est autre chose. À partir de ce moment, vous ne m’avez plus lâchée. Cette nuit-là, vous m’avez laissé pas moins de quinze messages.
Chaque jour, chaque heure, vous m’avez harcelée, menacée de violences. Pire, vous avez exigé du seul homme mâle blanc de plus de cinquante ans prêt à jouer pour moi le rôle de père, qu’il cesse de m’aider. Vous avez œuvré auprès de tous ceux que vous connaissiez chez Rock & Folk ou ailleurs pour que je sois persona non grata. J’ai gardé vos courriels aussi… Vous auriez pu prendre mon parti. Celui de la femme en danger. Celui de la femme qui, si elle se retrouve à la rue, finira violée et égorgée. Le parti de celle qui se réveille la nuit, la peur au ventre, ne sachant pas si le lendemain elle aura encore la force de continuer, tellement la vie est dure, injuste, ne connaissant ni le bien ni le mal.
La situation était telle qu’un jour Philippe a dû contacter votre père pour le supplier de vous convaincre d’arrêter. Votre haine a redoublé. Alejandro Jodowrosky a lancé une séance de magie pour que les étoiles me soient favorables. Dans le petit panier de crabes de l’édition et du rock, où l’on préfèrera toujours la malédiction au bonheur, votre comportement amusait. J’ai moi aussi essayé d’en rire. Mais il est difficile de rire quand vous avez faim, Madame. Avez-vous connu la faim ? Ce que vous souhaitiez était tout simplement ma mort : « Laissez crever cette pute », disiez-vous à qui voulait l’entendre.
Moi, j’avais choisi de vivre. À tout prix. Vous écrivez : « Vous, les puissants, vous exigez le respect entier et constant. Ça vaut pour le viol, les exactions de votre police, les Césars, votre réforme des retraites. En prime, il vous faut le silence de victimes ». Je vous réponds : « Vous la puissante, vous exigez la soumission à vos idées, en prime il vous faut le silence des victimes ». Vous ajoutez : « On a beau l’avoir pris des dizaines de fois votre gros pouvoir en travers de la gueule, ça fait toujours aussi mal ». Comme ce portrait de vous est ressemblant. J’ai beau avoir pris des dizaines de fois votre gros pouvoir en travers, lire votre tribune me révulse, me heurte. Oui, ça fait encore plus mal quand il s’agit d’une femme. Les hommes, eux, ceux qui ont fait la guerre, connaissent la paix des braves. Pas vous. Vous détestez les hommes, certes, mais en filigrane et d’expérience, je sens, je sais que vous détestez les femmes aussi. Je lis vos mots et toute l’hypocrisie qu’ils contiennent. Je lis cette phrase : « Par contre, la voix des opprimés qui prennent en charge le récit de leur calvaire, on a compris que ça vous soûlait ».
Donc je prends la plume pour raconter mon calvaire, mon enfance horrible avec un père alcoolique et violent et une mère jalouse et suicidaire. Ma vie d’adulte, à peine majeure et déjà jetée dans la dure réalité sans bagages et surtout, surtout, cette absence incroyable de solidarité de la part de femmes comme vous. Moi, je les aime, les hommes de pouvoir. Ils ne sont pas exactement ce que vous décrivez. J’ai de l’admiration pour les hommes de pouvoir et parfois même de la compassion pour les hommes tout court. Ils se battent comme des lions pour garder le pouvoir. Mais nous, les femmes, nous battons-nous comme des lionnes pour nous entraider, sans haine ni esprit de revanche ?
Vos mots sont une insulte à l’homme mais aussi aux femmes qui se lèvent. Comment osez-vous écrire de telles horreurs ? « Le temps est venu pour les plus riches de faire passer ce beau message : le respect qu’on leur doit s’étendra désormais jusqu’à leurs bites tachées du sang et de la merde des enfants qu’ils violent ». Croyez-vous que le crime soit uniquement masculin ? Croyez-vous vraiment que tous les hommes de pouvoir soient des violeurs ? Ignorez-vous que des femmes sont parfois les complices de certains tordus ? Regardez-vous dans un miroir.
Vous parlez de leur monde qui est « dégueulasse », mais comment est le vôtre ? Vous n’avez pas de cœur. Moi, je ne veux pas d’un monde sans cœur, moi, je ne veux pas d’un monde dans lequel madame Despentes parle des femmes comme des « meufs ». Un monde dans lequel une mère isolée n’est pas contrainte de signer un chèque sans provision pour nourrir ses enfants pendant que dans vos robes à paillettes vous donnez des leçons. Sans cesse, vous sortez des gros mots mais jamais vous ne mettez en lumière les maux. La précarité tue. L’absence de solidarité tue. Moi, je veux être une femme, sucer des bites, donner ou vendre mon cul, si ça me fait plaisir, sans me faire traiter de salope par une Madame la morale Despentes, sans honte. Mais surtout, je veux un monde qui ne soit pas monolithique.
Un monde qui ne soit pas en deux dimensions tel que vous le décrivez. Je veux un monde qui réconcilie les hommes et les femmes.
Je veux ce monde pour mes enfants. Car je suis mère. Ni « meuf », ni victime, ni soumise. Femme, fragile et forte, mère. Et surtout, je veux un monde dans lequel des femmes de pouvoir, comme vous, influentes dans les médias, l’édition et le cinéma, soient capables de bonté et de générosité. De dépassement de soi. Je ne veux pas d’un monde d’amazones, je veux un monde inclusif comme on dit aujourd’hui, où votre féminisme qui n’en est pas cesse de réduire l’homme à sa pire expression. Car nous les femmes ne valons pas mieux qu’eux. Votre tribune est obscène, encore plus quand on connaît votre véritable nature égoïste. Albert Camus disait « Un homme, ça s’empêche. » Une femme aussi. Je ne vous salue pas, je préfère embrasser un homme.
Comment ŕesumer sa vie ?
Panier de crabes…. panier de serpents…. sac à merde…..
Toutefois elle a raison Taubira n’était pas un homme.
Despentes est tombée bien bas, elle touche même le fond. Et ce qu’en dit Chloé des Lysses ne m’étonne pas: les donneurs de leçons aux autres, les prêcheurs de morale autoproclamés sont toujours des pervers, des psychopathes qui pratiquent à fond les vices qu’il prétendent dénoncer.
Toujours est-il qu’à force de sniffer la chnouf, la Despentes a dû sérieusement se détériorer les neurones. Est-ce la vue ou la mémoire qui est atteinte? Jamais vu de ministre noir? Il n’en a pourtant pas manqué!
Certes,plus de femmes que d’hommes, mais il y eut Harlem Désir et Victorin Lurel sous Hollande, c’est pas si loin! Et Kofi Yamgnane, et Roger Bambuck. Côté femme, Taubira, Rama Yade, Pau-Langevin, Hélène Geoffroy, MArie-Luce Penchard, Lucette Michaux-Chevry. Et beaucoup d’autres
despentes écrit comme elle pense sans se relire le matin à jeun…pas bon pour les neurones tout ça.
en tout cas merci chloé, merci pour les hommes de pouvoir et les autres
du temps du Général, mademoiselle Sid-Cara.
Je me suis limité aux cinquante années de la triste existence (je n’ose dire de lucidité) de dame Despentes.
Selon wikipédia, il y a eu au moins un ministre noir dans chaque gouvernement de la IVeme République après 1953, et jusqu’à quatre en 1957.
qui n’était pas noire mais kabyle
T’a raison philpat….être noir /Mahométans/femme ou / gay…….sa remplace largement un programme politique…..du moin sous la ripoublique messianique franc-maçonne luciferienne anti-CHRIST-ROI !
Etre Anti-blancs , anti-france , anti-occident , anti-heterosexel….c’est même quasi-obligatoire pour prétendre être dans la crass-politico- merdiatique subventionné ….
Philpat …tu en a vue beaucoup toi des ministres blancs au Sénégal ?…….bouffon !
L’exemple type de la gauchiste cloparde et vulgaire conçue dans la période post 68, qui pérore sans s’informer, et aurait sans doute du faire une psychanalyse, pour comprendre ses propres névroses..
Le pendant de gérard miller (mdr)
Autrement dit, Despentes est une bonne grosse conne gauchiste. Comme tous les connards gauchistes, elle raconte n’importe quoi et pratique la “post-vérité”, c’est-à-dire le mensonge grossier, éhonté, et de la plus mauvaise foi, au mépris des faits et de l’évidence.
Gageons que les “décodeurs” gauchistes de Labération ou de l’Immonde, ces falsficateurs du réel et fabricants de fake info, se garderont bien de dénoncer la parfaite stupidité des propos de Despentes.
D’autant plus que son énorme mensonge liminaire, une fois “décodé”, ridiculise toute la suite
écri-vaine. si vaine.
J ai d3ja vu Chloe des Lysses, sur Canal, à l époque où elle voulait être une star du porno. Les années 90. Je vois qu elle a bien reussi…
Tiens, un commentaire de beauf sans rapport avec le sujet. Il fallait bien un ravi de la crèche pour s’y coller.
C’est une des femens ?
Donc une des putes a soros !
A mettre à poil dans un camp de migrants , elle va vite changer d’avis cette collabo car cette # petasse # lors de l’attentat de Charlie , elle a applaudi voir son compte Twitter mais attention elle est dans le public on dit rien !
si elle n’a plus de corps et juste sa tête elle souffrira moins qu’une gentille fille.
Ce texte de Chloé des Lysses est tout simplement magnifique et dépasse de très loin par sa sensibilité, son style et sa vérité, la prose et les lieux communs de la Despentes.
La dignité et l’intelligence viennent donc parfois de là où on ne les attendrait pas, pétris de préjugés que nous sommes, même si nous nous en défendons.
Ceci dit si l’on est un tant soit peu lucide, on n’espère tout de même plus rien de bon des soi-disant féministes à la Despentes, à la Fourest ou à la Schiappa.
Donc merci à vous Chloé des Lysses, pour cette lettre qui remet les choses – et Virginie Despentes – à leur juste place.
Remarquez que Fourest a taclé la sortie de la Dalle en pente.
Tout le monde a oublié Kofi Yamgnane.
Ainsi que Roger Bambuck, George Pau-Langevin, Rama Yade, Harlem Désir, et…Sibeth Ndiaye
Et le regrette Henri Salvador…Qui pourrait chanter” Juanita Banana “de nos jours?
J’ai énormément apprécié cet article.
Il rejoint ma conception de la liberté des femmes.
Ouvre les yeux mon gros
Kofi Yamgnane, Rama Yade, Christine Taubira ???????
Anthony Stone
C’est christiane taubira …..elle a fait fürher !!!
très bon article pour ma part le racisme anti blanc que j’ai subi en france dans une université ce n’est pas les sacs a merde comme de Haas que j’ai contacté à l’époque ou l’association “Paye ta fac” ,et d’autres qui m’on aidé mais bel et bien un mal blanc qui me représente au procès. Je suis dans la même vision de la vie ral le sac de voir ces gourdasses donneuses de leçon. Je rêve d’un mouvement qui ferme leurs bouches à pute
Il m’arrive (très très rarement) d’être OK avec certains muzz quant on voit une connasse pareille ça donne quand même un peu envie de cogner.
Bien sûr lecture de “sa lettre” fut donnée sur France-Inter , car cette radio payée par mes impôts le vaut bien..
France inter n’a plus qu’à passer aussi la musique de Jordana la chamelle et ça sera le paradis.
Merci OH ALLAH le TROP GRAND pour moi.
BERNARD…👌👍🤭👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏🤗
Faut juste cesser de payer une redevance Télé qui engraisse des nids de putes comme f-Rance-inter et le CSA !
Oui, moi aussi j’ai entendu un débile lire la lettre en ignorant qui était l’auteur de ce texte historique…. La France ne mérite pas une telle descente aux enfers !
avant d’être sénile il me semble avoir connu un certain kofi gnamgnam ministre de mitterrand, qui ensuite a tenté sa chance comme candidat dans son pays d’origine, où ils n’ont pas voulu d’un “breton” ! mdr !
Un breton qui n’avait pas la mémoire courte et c’est peut etre pour ça qu’il n’a pas été élu
https://www.youtube.com/watch?v=bRmYeVJ58Fk
Une alcoolique qui prend régulièrement des substances euphorisantes et stimulatrices ne peut pas se souvenir que la France a eu pour ministres Roger Bambuck, Christiane Taubira, et plus loin dans le temps de grands politiciens comme Houphouet Bobigny ou Cedar Senghor !
Il est temps de se faire soigner.
En plus de cela la lettre de Chloé des Lysses est accablante pour cette blondasse hommasse qui en réalité ne rêve que de dominer les autres et de les humilier en permanence.
Beau coup de gueule !!! 👍👍
Parfaitement en adéquation avec la gaucherie , cette corporation toxique , dégénéree et répugnante dont les membres devraient être “solutionnés finalement “, un peu comme les adeptes de la muzzerie
A part les bites elle ne connait pas grand chose
Pour ma part je cherche vainement un blanc dans les gouvernements d’Afrique noire
Pour n’en citer qu’un (parmi des dizaines d’autres) :
Petit-fils d’esclave, Gaston Monnerville, né le 2 janvier 1897 à Cayenne (Guyane) et mort le 7 novembre 1991 à Paris, est un homme d’État français.
Il est député de la Guyane de 1932 à 1940, sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1937 à 1938, président du Conseil de la République de 1947 à 1958 et du Sénat de 1958 à 1968.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaston_Monnerville
C’est sûr, il n’a pas bronzé aux UV, lui.
Pour mémoire, le président du sénat est tout de même le N° 3 de la république.
Elle sniffait déjà pendant les cours d’histoire ?
Non, le président du Sénat est le second
Le ou Elle despente il à un cerveau d’huitre la despente pour ne pas avoir vue qu’il y à eu en France des ministres noirs?
Une Pouffiasse dans toute sa splendeur,un garage a bi*es tout puant .
ces gens là sont tellement aveuglés par le racisme qu’il n’hesite pas à inventer !! roger bambuck, rama yade, felix eboué ‘,kofhi yamgnane , leopold sedar shengor, aime cesaire, monnerville, on peux parler de louis anabia officier noir sous louis xvi !en 1691 !! mais c’est l’histoire revisité par la gauche , des jeunes de banlieue ont soutenus à ma fille prof d’histoire que ce sont les africains qui ont debarqués en provence et sauvés la france !! remarquez les memes lui ont dit que de gaulle a pris la bastille et jo dassin a decouvert l’amerique !!
Jo Dassin faisait même, non pas des ménages, mais des taxis chez uber et c’est à cette occasion qu’il rencontra Paradis.
C’est une femme “çà” ? Pas certain. Le clop au bec comme le mécano de mon quartier, (que je respecte, lui !) Non vraiment pas bandante ce truc.
Moi je dis : pas assez de jolies filles en politique ! Vu les épouvantails à Macron . . . . . .
Ben moi …j’ai jamais vu un blanc ministre au sénégal…..pouffiasse !
Encore une pétasse qui la ramène avec une torpille anti-blanc…pour se faire remarquer par les merdias
La hyênnes ricane avec les meutes des chacals
C’est certainement que la came qu’elle s’envoie …sa facilite pas pour éclaircire sont horizon…..
Un seul pour se qu’il la conserne ….”INSIGNIFIANTE”
Virginie Despentes n’a jamais vu un homme noir
Dans son lit j’en doute……….
Grosse ignare. Il y a plus de 50 ans, le deuxième personnage de l’état français était un noir. Gaston Monerville.
Quand on sait pas, on ferme sa gueule
Bien dit, cette chaudasse doit être plus du cul que de la culture !!!! Mdr ……..
la clope au bec provoc face camera c’est la grande classe!!! tiens ça me fait penser a cette “maire” de Madrid qui se fait photographier de face en contre plongée en train de pisser debout !
“Un homme ça s’empêche “n’était pas d’Albert Camus mais de son père ,car lui-même ne “s’empêchait ” pas beaucoup .D’ailleurs il est mort dans une voiture de luxe et de grosse cylindrée.
En tout cas ce post, qui voudrait faire pleurer dans les chaumières, est surtout une sélection du Bottin Mondain .
Camus voulait prendre le train mais Gallimard son éditeur lui a proposé de l’emmener dans sa Facel-Vega. L’éditeur le plus célèbre de France ne roulait pas en deux chevaux, c’est normal !
Cette blonde chaudasse devrait aller voir en Afrique combien de ministres blancs sont en exercice !!!!
Cette conne raconte des conneries ;il y a eu des ministres noirs…
Il y a t’il des ministres blancs en Afrique ou au
Maghreb ;voire dans les autres pays islamiques ?
Gaston Monnerville, noir guyanais, était si je ne m’abuse, président du Conseil, puis président du Sénat et donc deuxième personnage de l’État !
Daniel,ma mémoire a failli.Bien sur que je voulais parler de Gaston Monerville,et non de Bourges Maunoury.Desole.
AUCUN ni même à tel aviv !
Là vous avancez en terrain miné…..soyez prudent dans vos déclarations !!!
Elle n’a pas vu sa gueule ni lu la merde qu’elle publie.
Une gueule de vielle nymphomane cockainee, qui croit faire de la littérature avec ces écrits à deux balles tout juste bon à se torcher avec ; qu’elle aille faire un tour en Afrique pour voir si elle trouve des ministres noirs;pauvre pouffiasse! Encore une baltringue du milieu pseudo littéraire parisien, bref de la merde.
Et c,est pas avec ça que l’on va relever le niveau culturel du pays, enfin ce qu’il reste a relever.
elle n’a peut-être jamais vu un ministre noir mais elle a du voir plus d’un noir dans l’intimité!!!
Je la croise dans la rue, je pars en courant. Abjecte !
Quoi de plus important que la “PORTE PAROLE du Président ? Elle est Noire !
Quoi de plus important que la liberté de Parole ? Avia est Noire !
Combien de Ministres des DOM-TOM sont Noirs ?
Elle est sur de mauvaises Pentes !
C’est qui ce camionneur travelo ?
Cette Virginie Despentes fait du tord aux arabes et aux noirs, chaque fois, qu’elle sort avec eux ils se font contrôler par la police. Elle à raison la France est raciste, c’est pour cette raison, qu’elle se couvre de mosquées, qu’il n’y a bientôt plus de chauffeur de taxi d’origine française, et que les banlieues lui sont interdites. Les noirs sont surreprésentés en prison a cause du racisme, c’est vrai, leur racisme fait qu’ils refusent de s’assimiler. Maintenant, qu’il n’y ait pas de ministre noir en France, c’est peut-être dû à la porte-parole du gouvernement, elle est sibeth.
Putain, le débris. Tellement ravagé de la tronche qu’elle raconte que la France n’a pas eu de ministre noir. Sibeth, Yade, Taubira, etc…Tu vis où vilaine. Ton privilège de blanche serait de mentir plus intelligemment. Mais pour cela il faut un peu freiner sur la consommation des substances illicites.
On la sent exténuée, en bout de rail. La déchéance faite femme.
“je ne me souviens pas d’avoir vu…” L’ecrivaillonne des pentes vertigineuses a dérapé…Moi,je me souviens d’avoir connu un président du Sénat,(deuxième personnage de l’état) ,noir de peau,Mr Bourges Maunoury,excellent homme,au demeurant.A l’epoque,il n’y avait pas d’indigenes de la republique, pas de racailles a la périphérie de nos villes,pas plus que de racistes.Il n’y avait que des francais heureux de partager le privilège de vivre dans un pays où régnaient la paix,l’ordre et la prospérité.
Oh oui, tout ça est bien loin désormais.Si on pouvait revenir en arrière sachant ne pas refaire les conneries qui ont été faites, à savoir faire venir tous ces immigrés d’Afrique, la France et sa population ainsi que sa situation économique serait bien différente aujourd’hui. On en serait pas là.
Quand une personne n’a pas de cerveau, quand elle n’a jamais appris à l’utiliser, comme pour V. Despentes, la propagande destructrice mondialiste, anti-blancs, anti-chrétiens, au pouvoir peut lui inclure sans problème n’importe quelle mensonge comme le fait que les blancs sont des privilégiés du fait de leur couleur de peau. Alors qu’elle confond les “élites” mondialistes destructrices des blancs, privilégiées, comme elle, qui discriminent les blancs ; et les blancs du peuple, qui sont discriminés par elles.
Et un : il y a déjà eu des ministres noirs en France.
De deux : les Gilets jaunes, c’est parce que c’étaient des privilégiés qu’ils ont manifesté ? C’est parce que c’étaient des privilégiés qu’ils ont été éborgnés, au contraire des racailles des banlieues dont le pouvoir protège ?
Correction : quel mensonge.
Virginie Despentes est un symbole de féminité harmonieuse et épanouie.
Regarder sa photo, ça rend impuissant !
Encore une pintade qui a ratée sa vocation, celle ou elle excelle le mieux (j’imagine) : passer l’aspirateur, faire la vaisselle et le repassage ! …
– Félix Houphouët-Boigny : Ministre en 1956-57-58-59.
– Léopold Sédar Senghor : Secrétaire d’Etat en 1955-56, Ministre en 1959.
C’était normal d’avoir des ministres issus de l’Afrique car une bonne partie de ce continent était française à cette époque.
Il n’y a pas eu de “discrimination positive” pour leur nomination c’est à dire que ce sont leurs qualités personnelles qui ont prévalu et non un favoritisme racial à la tête du client.
Ces deux personnalités d’envergure sont devenus présidents lors de l’indépendance de la Côte d’Ivoire et du Sénégal, ils ont continué à démontrer par leur compétence qu’ils n’avaient pas fait l’objet d’une quelconque “discrimination positive” dans leur nomination préalable de ministre de la France.
Autres temps, autres moeurs.
Essayez de lire quelques pages de son dernier ‘chef d’oeuvre’ vernon subutex. D’une nullité mortelle. Comment est ce qu’on parvient à faire publier une telle merde, c’est la seule question que le pauvre lecteur se pose. Affligeant !
Gaston Monnerville président du Sénat