Grenoble avec Piolle, c’est la France Pol Pot

Au départ j’ai cru que c’était une blague, qu’avec le réchauffement les Grenoblois étaient sortis de leur hibernation plus tôt que prévu, le 1er janvier au lieu du 1er avril.

Il s’avère que non, c’est du très sérieux, faut dire qu’à Grenoble ça l’est toujours, c’est pas une ville réputée pour ses boute-en-train, le protestantisme tendance écolo gauchiste y laisse ses marques.

C’est pas pour rien qu’elle fut présentée comme le labo de la gauche municipale, tendance tofu, sirop de carottes, l’avenir radieux du genre humain.

Donc j’aurais dû me méfier, à plus forte raison avec leur maire écolo-dingo, un peu escroc aussi, Piolle Pot, lui tu sens que dans un autre monde il animait les thés dansants dans un laogai à l’époque de la Révolution culturelle.

Dans ce lieu mortifère, les seuls qui mettent de l’ambiance sont les wesh-wesh et les zyvas, qui ont eu le mérite de le propulser dans les sommets du classement de la délinquance.

À part ça, Grenoble, c’est un lieu à déprime, pas un être normalement constitué ne peut envisager d’y faire sa vie ! De prime abord il n’y aucune raison objective d’y aller, même l’amour de la tartiflette…

Forcément y a eu gourance de ma part !

À défaut de camps de rééducation, la municipalité organise des stages en immersion auprès des dealers. C’est peut être aussi une manière de rapprocher les consommateurs et les producteurs, c’est un circuit court, à mobilité douce, c’est très écolo.

Bien entendu, comme c’est un spectacle subventionné, il est à usage éducatif pour permettre une prise de conscience sociale dans sa globalité.

Si certains d’entre vous sont intéressés, après tout il y a des amateurs de tourisme d’aventure, voici le programme…

Paul Le Poulpe