Les kanaks alcoolisés et assistés sociaux à vie, à l’occasion de leur révolte téléguidée viennent d’obtenir un renfort inattendu en la personne de Dalida.
La politique française, même lors d’élections foireuses c’est quelque chose !
Je ne vais pas aborder plus qu’il ne faut la question institutionnelle calédonienne, disons qu’avec moi le problème kanak aurait été réglé depuis longtemps, à l’ancienne, avec un peu d’alcool de palme frelaté, à base de sciure de bois de traverses de chemin de fer, histoire d’améliorer le goût.
Non l’intéressant est la stratégie politique adoptée par la diva des pédoques.
Son poulain Jordan est donné nettement gagnant, avec toutes les réserves d’usage sur les sondages ça s’annonce bien.
Très logiquement lors de cette campagne, il faisait parfaitement ce qu’il avait à faire, rien !
A sa place j’aurais fait pareil, t’es en en tête, t’as qu’une chose à faire, gérer, à plus forte raison quand les événements quasi quotidiens et la nullité des adversaires travaillent pour toi.
Et voilà que l’autre dinde débarque, alors qu’on ne lui a rien demandé, à l’occasion de troubles qui sont à la base encore un cadeau du ciel, une offrande.
Il lui suffisait d’insister sur le chaos généralisé dans le pays, l’incompétence et la faiblesse du pouvoir face aux forces séditieuses adeptes du nettoyage ethnique, sur les intérêts géopolitiques supérieurs du pays, non elle nous a fait une embardée idéologique digne d’un Chirac, mais au moins lui attendait d’être au pouvoir pour renier ses promesses à gogos.
Alors qu’elle et son groupe sont en train d’examiner la loi électorale, qui permet juste à des citoyens français de pouvoir voter sur un territoire encore français, elle en est à en proposer le report de l’application et un nouveau référendum, oui t’en qu’à faire, comme les prises de sang, un tous les mois.
On en arrive au stade suprême ou Libetorchon lui tresse des éloges pour son attitude responsable, si la gauche cherche une candidate pour 2027 elle est trouvée !
Tout paraissait joué, l’équipe menait 3-0, il suffisait de faire tourner le ballon, d’éviter une initiative incongrue du style le gardien de but qui décide de partir en dribbles depuis sa surface avec la conséquence que l’on devine.
C’est ce qu’elle vient de faire brillamment, relançant ainsi la partie.
Alors, il y a deux explications rationnelles, enfin à peu près, soit elle est vraiment très conne et devrait se contenter d’élever des chats en leur chantant «Paroles et paroles », soit elle se comporte comme la marâtre des contes de fées en sabotant la campagne de son poulain, car s’il fait un trop bon score il devient un rival.
A sa façon, elle illustre parfaitement la grande maxime du non moins illustre philosophe grec Enculophon D’Ephèse « Qui c’est qui te l’a mis, c’est ton ami »…
Voilà pourquoi je ne suis ni républicain ni et encore moins démocrate.