Macron ne va pas se dissoudre

C’est la nouvelle importante du jour.

Mais, Il devrait se méfier, avec Moussa le Tripoteur le roi du dissolvant tout peut arriver !

La gourde de Lolo Ferrari n’a pas relevé la crétinerie de la réponse de la cruche  Prisca, porte-parole des sous doués sont au gouvernement.

Quel dommage ! Alors que la droite fourbe, l’opposition en carton-pâte a trouvé son nouveau champion, celui qui parle comme il faut, le prof de lycée raté, le nouveau faussaire,  Bellamy.

Lui on sent qu’il est sur la voie de ses devanciers, tel Chirac leur guide, ou l’escroc magyar, il sait dire aux rombières et aux rentiers ce qu’ils ont envie d’entendre. Les voici rassurés, ils savent qu’ils seront à nouveau fourrés lors des prochaines farces électorales.

Pour complèter le sujet, je me permets de rappeler à cet électorat persévérant dans la débilité, la maxime, actualisée par mes soins, du grand philosophe grec Enculophon d’Ephèse “Qui c’est qui te l’a mis, c’est Bellamy”.

Pour finir, vous allez voir ça boucle bien cette chronique, ayons une pensée pour MF Garaud qui vient de défuncter à 90 ans.

Elle,  c’est la grande prêtresse des  souverainistes, avec Seguin dès que tu prononces son  nom, ils entrent en lévitation, peut-être même en érection, pour ceux qui peuvent encore.

C’est comme quand tu vas voir Dr Cissokoh grand savant, spécialiste du retour d’affection…

Alors que concrètement quel est  son bilan pour le pays, à part le baratin qui fait plaisir à entendre à certains et leur permet de s’astiquer ?   C’est quoi ? Ah oui, elle a apporté Chirac, en effet belle réussite ! Pour lui certainement, mais pas pour la France.

On peut dire qu’elle a eu le flair pour détecter le talent ! Ce fut la trouvaille du siècle ! Ce jour là elle aurait mieux fait d’aller à Longchamp miser sur les tocards.

Elle a joué à la marionnettiste, lui a donné parait-il une formation très complète, en particulier en technique d’aspiration caudalo-buccale, mais a oublié que les créatures finissent toujours par échapper à leurs maîtres.

C’est ça la droite, toujours  attirée pathologiquement par la défaite flamboyante ! Et elle ne s’en lasse pas !