Houria Bouteldja est cette sympathique jeune femme qui, en 2003, qualifiera, à l’issue d’une réunion publique, notre ami Pascal Hilout de « bougnoule de service ». Depuis, elle est devenue porte-parole des Indigènes de la République, a multiplié les insultes contre notre pays en toute impunité, dans le livre « Nique la France », a ouvertement, dans des termes racistes, menacé les Blancs, a qualifié nos compatriotes de souchiens, et appelé, en présence de Tariq Ramadan, à des printemps arabes dans les banlieues de la France.
Mais c’est contre notre ami Pascal Hilout que les racketteurs de l’antiracisme ont déposé plainte, et c’est contre lui que le procureur Aurore Chauvelot a requis 2 mois de prison avec sursis et 3000 euros d’amende. C’est lui encore qui a été condamné par la Cour d’Appel, en compagnie de notre fondateur Pierre Cassen, à verser la somme exorbitante de 21.500 euros d’amende et de dommages et intérêts.
Nous ne féliciterons jamais assez la Ligue de Défense Juive (LDJ) d’avoir humilié, en plein jour, cette femme haineuse, francophobe, en lui versant un pot de peinture sur la tête.
Pour Bouteldja, tout va bien. Elle peut, outre ses précédents exploits, organiser un congrès avec l’effigie du fondateur du Hamas, Cheikh Yacine, qui, dans sa charte, appelle juste à l’extermination de tous les juifs, cela n’émeut pas Jakubowicz et sa clique de la Licra, et pas davantage ses complices d’un prétendu antiracisme.
Alors, pourquoi se gêner ? Au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, elle nous livre sa prose (du moins celle qu’elle signe, car il nous étonnerait, vu la pauvreté de son vocabulaire, que celle qui a un problème avec les Blancs n’ait pas son nègre), et cela vaut son pesant de cacahuètes. On passera sur la longue logorrhée crypto-marxiste, pour s’arrêter sur deux thèmes essentiels.
http://oumma.com/219681/charlie-hebdo-sacre-damnes-de-terre-de-profanation
Elle commence par expliquer qu’elle a quarante ans et qu’elle n’a jamais entendu quelqu’un, dans sa vie d’Indigène, « insulter son prophète ». Nous rappellerons à cette charmante personne qu’en France, les Indigènes, ce sont les habitants historiques de ce pays, les Français, et qu’elle est davantage colonisatrice qu’indigène. Mais surtout nous lui rappellerons que la culture française, c’est la liberté d’expression, le droit de croire ou de ne pas croire, la liberté de conscience, et absolument pas la charia, qui interdit toute expression incompatible avec les écrits du Coran. Elle montre, par la première partie de son texte, sa volonté, affichée au grand jour, de refuser notre culture, notre mode de vie, notre civilisation, et d’islamiser la France, en réintroduisant, au profit du seul islam, le délit de blasphème.
Mais le pire (ne pas confondre avec le PIR) est à venir. Dans une bouillie gauchisante, elle justifie Charlie Hebdo dans ces termes : « Les frères Kouachi et Amedi Koulibaly ont été précédés de Khaled Kelkal, Mohamed Merah et Mehdi Nemmouche, tous « musulmans », tous indigènes. La source de leur folie meurtrière ne tarira que lorsque tariront, à l’extérieur, les guerres impérialistes, à l’intérieur, la fracture raciale ».
Décodage : tant qu’Israël occupera la Palestine, tant que la France sera reconnue coupable de « racisme » (par une musulmane dont les textes sacrés appellent à exterminer les Juifs), les crimes barbares des soldats de l’islam, en France, auront leur justification.
C’est ni plus ni moins, dans l’esprit des appels au meurtre contre les Français effectués par les djihadistes de l’Etat islamique, un blanc-seing donné aux islamistes pour continuer à tuer des Français.
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Imaginez un leader syndical qui explique que tant qu’il y aura des injustices sociales, les crimes contre les patrons ne pourront se tarir.
Imaginez un leader écologiste qui raconte que, tant qu’il y aura du nucléaire, les crimes contre les salariés d’EDF ne pourront se tarir.
Imaginez un leader LGBT qui dise que tant qu’il y aura l’oppression hétérosexuelle, les crimes contre les dirigeants de LMPT ne pourront se tarir.
Imaginez un leader juif qui écrive que tant que l’antisémitisme sera dominant dans la culture musulmane, les crimes contre les musulmans ne pourront se tarir.
Tout le monde verrait, à travers ces quatre exemples, une incitation à la violence contre un groupe de personnes, et les boutefeux seraient poursuivis.
Bouteldja, bénéficiant d’une impunité totale, se permet de justifier, à travers les lignes, les crimes contre les juifs, les dessinateurs de Charlie et nos compatriotes, et Cazeneuve, qui expliquait que le djihad n’était pas un délit, est toujours aux abonnés absents.
Si nous avions un vrai ministre de l’Intérieur, et pas un incompétent islamo-collabo qui interdit nos manifestation, mais autorise celles des soldats d’Allah, le Parti des Indigènes de la République serait dissous depuis longtemps, et Houria Bouteldja dans un avion, en direction d’Alger, avec un aller simple…
Paul Le Poulpe