Très intéressante vidéo publié par le site “Enquête et Débats”. On y découvre – ce dont on se doutait un peu – que, sur la question de l’islam, pour passer sur les chaînes de télévision publiques, financées donc par nos impôts, il vaut mieux être musulman et enfumer le téléspectateur avec la religion d’amour, de tolérance et de paix, que non musulman, et oser émettre quelques réserves, voire parfois plus, sur l’islam, et les pratiques de ses disciples, en France et dans le monde.
On constate en effet, chiffres en main, l’incroyable disparité qui s’exerce sur les chaînes publiques, entre les fréquents passages d’Houria Bouteldja, Abdennour Bidar, Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dounia Bouzar, Abdelwahab Meddeb, Abd al Malik ou Yacine Bellatar, qui, chacun à leur façon, défendent l’islam, et ceux de Christine Tasin, Rémi Brague, René Marchand, Pierre Cassen, Marie-Thérèse Urvoy ou Anne-Marie Delcambre…
L’enquête réalisée par Jean Robin est en effet sans appel : à eux tous, en sans doute en ajoutant Véronique Genest, les “non-musulmans qui critiquent l’islam” ne totalisent pas 10 invitations sur les chaînes publiques.
Par contre, les “musulmans” approchent les 300. Vous avez dit service public ? Vous avez dit “démocratie” ?
Paul Le Poulpe
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