On est habitué aux méthodes du camarade Mélenchon et de ses sbires Corbières et Delapierre. Staline recommandait à ses comparses de qualifier de “fasciste” tout adversaire politique, qui, ainsi, serait sur la défensive.
Mélenchon et sa garde rapprochée utilisent parfaitement les conseils du génial “Petit Père des Peuples”, et assimilent systématiquement à l’extrême droite raciste nostalgique de Hitler quiconque s’oppose à l’immigration en période de chômage de masse et ose parler de l’insécurité, qui, faut-il le rappeler, touche d’abord les classes populaires ? Allant encore plus loin, ce prétendu anti-clérical nous joue à présent une partition du style : “Touche pas à mon islam, et bas les pattes devant les gentils musulmans !”
Tout cela n’est que gesticulation politicienne destinée à faire oublier que le camarade Méluche, dès 20 heures, le 6 mai 2012, se couchait devant Hollande et appelait à voter pour lui. Comme pour se dédouaner, il tire à présent à boulets rouges sur celui qu’il appelait “Le Capitaine de Pédalo”, et principalement sur son ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.
Cela a commencé par une première salve d’un de ses bras droits, l’ennuyeux et austère François Delapierre, qui avait déjà reproché à l’homme fort du gouvernement d’incarner “l’extrême droite du mouvement socialiste”.
Le chef du Parti de gauche en remet une louche, et, injure suprême, reproche à Valls de chasser sur les terres de la présidente du Front national : “Madame Le Pen est à deux doigts de gagner son pari. Non seulement, elle a séduit la plus grande partie de la droite mais elle a aussi contaminé Manuel Valls. Or, c’est lui qui donne le ton au gouvernement. Voyez comment il a pollué une partie de l’été avec la question du voile. Les musulmans dans notre pays font l’objet d’une stigmatisation insupportable. Lui a décidé de manière cynique d’utiliser cette situation malsaine pour installer son personnage : un dur et violent qui chasse sur les terres de Madame Le Pen”.
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Sur le fond, notons donc que Méluche et le sinistre Delapierre reprennent exactement les principes de Staline, et font à Valls – par ailleurs complice de l’islamisation de notre pays et de son changement de population – le coup de l’extrême droite, l’amalgamant à Marine Le Pen. Donc, pour l’ancien candidat de Front de gauche à la présidentielle, parler d’insécurité, d’islam, d’immigration, et s’opposer à la remise en liberté des psychopathes, c’est être d’extrême droite ! Quel mépris pour les classes populaires, mais il est vrai que, quand il prend l’avion, il ne les côtoie pas !
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Si on décode bien les propos de Mélenchon, on peut donc en toute logique en conclure que :
– L’émeute musulmane d’Argenteuil ne lui pose aucun problème.
– L’émeute musulmane de Trappes ne lui pose aucun problème.
– Le voile musulman à l’université ne lui pose aucun problème.
– La multiplication d’agressions, parfois mortelles, de plus en plus souvent par égorgement, commises par des disciples de l’islam contre nos compatriotes ne lui pose aucun problème.
– La campagne victimaire des musulmans, demandant la réintroduction du délit de blasphème, et la remise en cause de la loi contre le voile intégral, ne lui pose aucun problème.
On peut donc considérer que Jean-Luc Mélenchon, prétendu républicain laïque, est un complice objectif de l’islamisation de la France, et du grand remplacement de population, dénoncé par l’écrivain Renaud Camus.
On peut considérer qu’en soutenant un projet politique basé sur une théocratie totalitaire, sexiste, homophobe et raciste, le camarade Jean-Luc Mélenchon, avec ces méthodes de petit stalinien, roule ouvertement pour la seule véritable extrême droite qui menace nos libertés, l’islam.
On peut ajouter que, en bons descendants des crapules staliniennes, Jean-Luc Mélenchon et ses sbires adoptent une attitude contre-révolutionnaire, poignardant les peuples tunisiens et égyptiens qui cherchent à se libérer de l’islam, quant eux soutiennent, en France, les copains de Ennahda et de Morsi, qui veulent imposer le voile à toute leur population.
En 1940, un ancien communiste, Jacques Doriot, maire de Saint-Denis et président du Parti Populaire Français (PPF), par ailleurs, à l’instar de Mélenchon lui aussi tribun exceptionnel, avait choisi ouvertement son camp, celui de la collaboration franche et loyale avec l’occupant nazi.
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Il rejoindra le front de l’Est, sous l’uniforme allemand et y laissera la vie lors d’un mystérieux bombardement. Pourquoi ce parallèle entre Mélenchon et Doriot ? Tout simplement parce que, quand la France est en danger, non seulement ils ne la défendent pas, mais ils se rangent du côté de l’occupant, qu’il ait la forme des armées allemandes, en 1940, ou, beaucoup plus insidieuse, de celle des plus radicaux des musulmans, qui ne cachant plus leur volonté de transformer, par l’immigration (que soutient Mélenchon) et la démographie, permise par les aides sociales (que défend Mélenchon), notre France en terre d’Islam.
Il y a soixante-dix ans, Doriot portait l’uniforme allemand. Malgré tout le mal qu’on peut en penser, celui qu’on appelait le Grand Jacques a eu au moins le mérite de mettre ses idées en conformité avec ses discours, et de se battre les armes à la main. Verrons-nous bientôt le camarade Mélenchon en djellabah ou en kami, guerroyer aux côtés des barbus contre des Français qu’il méprise et qu’il hait ? A notre avis, non, il aime bien trop le rôle d’idiot utile du capitalisme, et d’opposant préféré de Hollande, pour remettre en cause, au péril de sa vie, tous les avantages que le système lui octroie.
Paul Le Poulpe