Thuram aurait-il un problème, voire un complexe, vis-à-vis des Blancs ?

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Quand on sait que l’islamo-collabo-bobo Jean-Jacques Bourdin invite “l’anti-raciste” Lilian Thuram, on sait qu’on va avoir droit à une émission de propagande sur la société multiculturelle, sur le racisme de la société française, et sur la victimisation des malheureux noirs par les méchants blancs.

Thuram-lemarchandRappelons tout de même que Lilian Thuram, arrière droit de l’équipe de France championne du monde en 1998, n’a jamais été victime du moindre acte de racisme sur un terrain de football français. Rappelons à ce grand donneur de leçons que, dans les vestiaires de l’équipe de France de football, après la victoire de 1998, il avait crié à la cantonade : “Allez les blacks, on se fait une photo ensemble”, se faisant reprendre de volée par Franck Leboeuf, qui lui avait fait remarquer que lui ne disait pas : “Allez les Blancs, on va se faire une photo ensemble”. Rappelons à ce grand défenseur de l’égalité Hommes-femmes qu’il a eu une fin de relation plutôt difficile avec Karine Le Marchand, qui l’a accusé de violences physiques à son encontre. Et n’oublions pas qu’il a osé enfoncer Laurent Blanc, lorsque, de manière crapuleuse et politicienne, Mediapart a accusé le sélectionneur, et le DTN, d’avoir remis en cause les critères de recrutement des écoles de formation, et mis en avant la question de la double nationalité.

L’entretien avec l’ineffable Bourdin, qui lui sert la soupe, n’en prend que davantage de saveur. On apprend ainsi que celui qui voulait se faire payer 20.000 euros pour intervenir à peine une heure dans un quartier de Strasbourg sur le racisme, a entrée libre dans nos écoles, puisqu’il est président (et sans doute seul membre) d’une association appelée “Education contre le racisme”. Première question : que fout ce personnage dans nos écoles ? Dans un contexte où le niveau baisse chaque année, où de plus en plus de jeunes arrivent en 6e sans savoir lire et écrire, nos enfants ont-ils besoin du faux antiracisme, mais du militant Thuram, et de son endoctrinement ?

Bourdin, toujours aussi faux-cul, parle des engagements religieux dans le football. Alors que le journaliste Daniel Riolo a écrit un livre, “Racaille Football Club” où il explique que l’islam est la première religion dans le football français, ce journaliste réussit à ne jamais prononcé le nom, mais à évoquer l’incroyable montée des évangélistes dans le football. Il fallait oser !

Nous avons droit, bien évidemment, à la condamnation sans nuance de la décision d’Estrosi, interdisant, le soir du match Allemagne-Algérie, les drapeaux algériens dans sa ville de Nice. Naturellement, cela ne favorise pas le “vivre ensemble” et ce n’est pas bien. Pas un mot sur le déferlement et les violences des supporters algériens, ni sur le fait qu’ils soient de nationalité française.

Il paraît qu’il parle même d’esclavage dans les écoles. Mais rassurons immédiatement la bien-pensance, il en parle selon la réécriture de l’Histoire version Taubira. On ne doit donc pas beaucoup entendre parler des esclavagistes noirs, pas davantage de l’esclavagiste musulman, mais principalement des méchants Blancs, même s’il a la prudence de parler d’un système économique.

Il affirme que le racisme anti-blanc a toujours existé (c’est Sopo qui ne va pas être content), mais il en minimise immédiatement l’ampleur, et revient sur un football où les Noirs ne seraient pas, selon lui, porteurs du même statut que les Blancs. Il suffit de regarder la réalité du football français pour mesurer l’énormité du propos. On en arrive à se demander si, pour Thuram, un Blanc en équipe de France, un Blanc dans le championnat de Ligue 1, ce n’est pas un Blanc de trop, et si l’homme qui condamne l’apartheid sud-africain ne rêve pas, dans son inconscient, d’un championnat et d’une société uniquement composées de Noirs. On finit réellement par se demander si ce garçon ne souffre pas d’un énorme complexe vis-à-vis des Blancs, d’où son obsession pour la question raciale.

Thuram, sous ses aspects bien gentils, est une caricature à lui tout seul de l’imposture antiraciste, et du message remplaciste qui se cache derrière le discours officiel.

Paul Le Poulpe