Tourcoing : quatre nuits de guerre contre la France

tourcoing-emeutesLe scénario est tellement rodé qu’il est inutile de le préciser longuement. Un “jeune”, comprenez un islamo-racaille, grille un feu rouge (donc menace la vie de quiconque aurait la mauvaise idée de passer à ce moment-là) et se fait prendre en chasse par une voiture de police.

Il échappe aux forces de l’ordre, mais est victime d’un accident de la route. Bilan, un mort, deux blessés graves, et quatre nuits d’émeute.

C’est devenu tellement habituel, depuis trente ans, que cela n’émeut plus personne. La suite du scenario est prévue. On va avoir droit à une marche blanche pour célébrer une crapule qui n’a été que la victime de son irresponsabilité. Ajoutons qu’il est préférable qu’il se soit tué sans faire d’autres victimes innocentes.

Avec un peu de chance, les policiers ne seront pas harcelés pendant dix ans par un Mignard, qui a pourri la vie des policiers de Clichy. En attendant, comme d’habitude, c’est la France, et donc les impôts que nous payons pour nourrir des personnes qui ne travailleront jamais et se comportent en parasites nuisibles de notre société, qui va faire face à ces quatre nuits de dégâts.

Naturellement, les journaleux et les politiques ont passé sous silence ces quatre nuits d’émeute. Personne ne précisera qu’elles constituent des actes de guerre contre notre pays. Nul ne fera le calcul du montant des dégâts, du prix des forces de l’ordre, et de ce qu’il aurait été possible de faire, dans notre pays, avec cette somme, pour améliorer les salaires, les retraites et la couverture sociale de nos compatriotes.

Ceux qui, en vandalisant des quartiers entiers, mènent une guerre quotidienne, à la moindre occasion, contre la France, savent ce qu’ils font, et n’ignorent pas qu’en harcelant notre pays, ils obligent les autorités à consacrer des montants énormes qui ne sont pas utilisés à des fins plus utiles pour tous les Français.

Ce sont donc des actes de guerre, qu’il faut qualifier ainsi, et traiter comme tels. Depuis 1986 et Malek Oussekine, chaque ministre de l’Intérieur a peur d’avoir un mort qui entache sa carrière politique. Ils préfèrent donc laisser les policiers impuissants, face à des émeutiers qui savent qu’ils n’encourent pas d’autres risques qu’une arrestation qui n’aura pas de lourdes conséquences, avec les juges “Murs des Cons”.

Seules des consignes claires, donnant l’ordre aux policiers de réprimer sans concession les islamo-racailles de Tourcoing et d’ailleurs, et donc de leur tirer dessus à balles réelles pour montrer que le pays ne reculera plus, pourra éviter, à l’avenir, que des dizaines d’autres Tourcoing ne se renouvellent. Et si cela doit provoquer la mort de dix “jeunes”, cela ne fera pas pleurer grand monde dans l’Hexagone.

Il est temps que dans ce pays, la peur change de camp, et que quelques racailles paient au prix fort la guerre qu’ils imposent à la France pour mieux préparer l’islamisation de notre pays.

Paul Le Poulpe