Guy Roux est un gros blaireau francophobe et un islamo-collabo

Guy Roux est connu comme le mythique entraîneur d’Auxerre. Un homme très médiatique, qui a réussi à transformer un patronage de football en une équipe professionnelle qui a gravi tous les échelons, jusqu’à réussir un doublé Coupe-Championnat en 1996 et faire connaître aux Français des soirées inoubliables de Coupe d’Europe.
Chouchou des médias, toujours avides de ses jeux de mots et de ses sentences, même quand elles n’étaient pas très judicieuses, il aurait pu finir sa carrière sur un coup d’éclat : la victoire de la Coupe de France par Auxerre, l’année de ses 65 ans. Il avait annoncé alors à la terre entière qu’il prenait sa retraite, et il faut reconnaître qu’il serait sorti par la grande porte.
Il faut savoir que Guy Roux, de toute sa vie, n’a connu qu’un seul club, Auxerre, qu’il a façonné à sa façon, et promouvant des jeunes des écoles de formation qu’il avait connus gamins, et en recrutant, à bon prix, quelques étrangers en fin de carrière qui pouvaient encore servir.
Et puis, Guy Roux a commencé à faire des conneries, et à dire des conneries. Sa plus grosse erreur a été de ne pas vouloir en rester à sa dernière grande victoire, la Coupe de France, à 65 ans. Trois ans plus tard, le démon le reprenait, et à 68 ans, il signait comme entraîneur au Racing Club de Lens, sous la pression amicale du président historique, Gervais Martel. La faute politique de sa vie, et une erreur qui coûtera cher aux Lensois.
Les quatre premiers matches furent catastrophiques. La greffe Guy Roux n’avait pris ni au niveau des joueurs, ni au niveau des entraîneurs, ni au niveau des dirigeants du club. Au bout de ces quatre matches, il fut viré comme un malpropre, et le club ne se remit jamais de ce début catastrophique. Il descendit en deuxième division.
Guy Roux fit encore, pendant plusieurs années, des commentaires sur des chaînes, dans un rôle de consultant. Puis, plus le temps passa, moins il intéressa de monde.
Il fut celui qui se vanta que le centre de formation d’Auxerre, c’était 80 % Afrique noire, 10 % musulmane et 10 % Gaulois. Bref, une pratique négrière et colonialiste, ce qui n’empêche pas cet homme, qui se vante d’avoir voté à droite toute sa vie, de défendre, dans une interview ahurissante, les footballeurs musulmans, expliquant que la France leur doit tout, et que sans eux, on en serait réduit à pratiquer le football à sept.
http://sport24.lefigaro.fr/football/equipe-de-france/actualites/guy-roux-la-mise-a-l-ecart-de-benzema-est-un-immense-gachis-862107
Bien évidemment, Oumma.com exulte. Guy Roux ose, d’autre part, expliquer que la non-sélection de Benzema vient simplement du fait que les Français seraient racistes. Cette interview, scandaleuse, remonte à avant le match France-Paraguay. Et manque de chance pour ce gros raciste (car ses propos sont empreints de racisme anti-français), ce jour là encore, Olivier Giroud, qui remplace avantageusement Benzema, marquait encore trois buts. Le bilan est pourtant fort facile à faire. Giroud a joué 62 matches en équipe de France, et à marqué 26 buts, sans jamais tirer un seul pénalty. Benzema a joué 81 matches, et a marqué 27 buts, dont plusieurs penalties. Sportivement, il n’y a pas photo.
D’autre part, Giroud aime la France, et le maillots de Bleus, Benzema n’en a rien à foutre, affirmant que l’Algérie est le pays de son cœur. Giroud n’a jamais eu le moindre écart de conduite avec les Bleus, Benzema les a multipliés, le dernier, accablant, ayant consisté à être le complice d’un de ses employés, ami d’enfance, qui a voulu faire chanter son équipier de l’équipe de France, Mathieu Valbuena. Bref, Giroud est un mec bien et sain dans sa tête, Benzema est une planche pourrie.
Mais là où ce gros raciste francophobe se surpasse, c’est quand il ose proférer cette phrase : “Tous les bons gamins sont aujourd’hui en banlieue, à Paris, à Lyon. Aujourd’hui, vous enlevez les musulmans du championnat de France, on fait du football à sept. Et encore ! On donne des leçons contre le communautarisme. Moi, je m’en fiche. À partir du moment où les joueurs sont patriotes, cela ne me pose aucun problème qu’ils soient catholiques, musulmans ou protestants”.
Sauf, et Guy Roux ne peut pas ne pas le savoir, que c’est justement avec les musulmans qu’il y a eu des problèmes, en équipe de France, quand ils devenaient trop nombreux. Faut-il rappeler à ce blaireau anti-français islamo-collabo les épisode Anelka, Ribery, Nasri et Ben Arfa, qui, tous à leur façon, mirent la vérole dans l’équipe de France, profitant de la passivité et de la lâcheté des entraîneurs de l’époque ? Et Pogba, présenté comme la future star de l’équipe, qui, bien que jouant à Manchester, ose, depuis La Mecque, souhaiter un bon ramadan à tous, est à surveiller comme le lait sur le feu.
Ne craignant pas de se contredire, Guy Roux ose affirmer qu’il ne demande aux joueurs que d’être patriote, alors que quelques lignes plus tôt, il affirmait qu’il s’en foutait que Benzema (contrairement à Giroud) ne chante pas La Marseillaise.
Et puisque ce lèche-babouches ose écrire que sans les musulmans, les Français joueraient au football à sept, je vais d’abord lui rappeler que lors du dernier match France-Paraguay, quatre des cinq buts ont été marqués par des Gaulois.
D’autre part, je vais lui composer une équipe de France sans musulmans, et montrer qu’elle aurait rudement de l’allure.
Lloris – Varanne – Koscielny – Digne – Gonalons – Rabiot – Thauvin – Griezmann – Gameiro – Giroud – Payet
Et je pourrais ajouter autant de remplaçants de qualité, qui montrent que l’équipe de France n’a surtout pas besoin de Benzema, ni des musulmans, pour être compétitive.
En tenant de tels propos, l’ancien entraîneur d’Auxerre ne peut pas ignorer qu’il fait le jeu des ennemis de la France, ceux qui exigent en permanence repentance, et expliquent que notre pays doit tout aux musulmans. Au mieux, il parle comme un vieux con gâteux, au pire comme un traître conscient.
Alors Guy Roux, quitte ta Bourgogne, va vivre dans un pays musulman, et surtout… boucle-la !
Paul Le Poulpe