Les propagandistes de l’antiracisme ne reculent devant rien. Les faits. Lors d’un match opposant l’équipe nationale de Suède à l’Allemagne, le joueur Jimmy Durmaz, d’origine turque (il possède la double nationalité), commet une faute (inutile) à la dernière minute du match. Faute fatale, puisque le coup franc est magistralement transformé par Tommy Kroos, et la Suède perd donc le match.
Il se dit ensuite que le fautif, Jimmy Durmaz, aurait reçu de nombreux messages à caractère racistes sur les réseaux sociaux. Ont-ils été si nombreux ? On parle de 3000 messages à caractère injurieux et raciste. D’abord, une injure n’est pas forcément raciste. Donc, combien de tweets vraiment racistes ? Quels en sont les termes ? Pourquoi ce joueur est-il si impopulaire ? Sa visite passée dans des camps de réfugiés, en Grèce, en est-elle la cause ? On n’en sait rien, mais la machine antiraciste se met en branle.
On sait qu’en France, des journalistes et des loustics comme Cantona ont été capables d’expliquer la non-sélection de Benzema par le racisme de nos compatriotes. La vigilance sur ces manipulateurs est donc de mise.
Dans cette scène surréaliste, à l’entraînement, on voit donc le joueur (qui évolue dans le club de Toulouse) Durmaz, la main sur le coeur, incapable de prononcer un discours sans lire son texte sur l’Iphone, qui nous fait le coup du racisme, de son attachement aux couleurs et au drapeau de son pays, et cela se termine de manière vulgaire, par cette phrase et ces doigts d’honneur : “On emmerde le racisme”.
Bien sûr qu’il est bien qu’une équipe soutienne un de ses joueurs, quand il est attaqué. Bien évidemment qu’il faut combattre le racisme sur les stades de football… à condition qu’il existe vraiment, et qu’on n’invente pas du racisme pour justifier l’antiracisme et les campagne politiciennes de l’UEFA, dignes des pires régimes totalitaires.
Par ailleurs, le manipulateur Jimmy Durmaz et les vaillants antiracistes suédois n’évoqueront pas, dans leur message, la vraie réalité de la Suède, révélée par Donald Trump et confirmée par cette jeune femme.
Bien évidemment, les méchants racistes, dans le football comme dans la vie quotidienne, ne peuvent qu’être blancs et européens, et les victimes ne peuvent qu’être, comme Durmaz, qu’issues de la diversité, même si, dans la réalité quotidienne du pays, c’est plutôt le contraire qui se passe.
On remarquera par ailleurs que les médias, qui bien évidemment font monter la sauce autour de Durmaz, ont été bien plus discrets sur l’attitude provocatrice des deux buteurs suisses, Granit Xhaka et Xherdan Shaqiri, d’origine kosovare, qui ont chambré grossièrement les supporters serbes, en mimant l’aigle de la grande Albanie.
On ignore si ces deux joueurs suisses, qui multiplient dans leur tenue les signes d’allégeance au Kosovo musulman, vont nous faire le même coup de la main sur le cœur et de l’attachement au pays pour lequel ils jouent…
Paul Le Poulpe
Madame Soleil à Riposte Laïque !un blogueur a écrit hier que la France et le Danemark avait négocié le match nul et bizarre ,vous avez dit bizarre ,ils ont fait …match nul.
Et nul de chez nul d’après les spécialistes au point de se faire siffler .
On nous dit qu’au tennis certains joueurs en fin de partie sont atteints de la “peur de gagner “,le syndrome doit atteindre aussi les footballeurs.
Un seul commentaire à 16h25… RL est aux abois ! Match “nul” hier !
Le “Messi(e)” apportera la Paix sur cette bonne vieille Terre de France, revenue aux réalités ! Samedi ? Journée… Noire !