Aubervilliers : les policiers accueillis aux cris de "Vive la France !" par les muzz !


Le brigadier-chef Bertrand M. n’en revient pas. Quand il a reçu l’ordre de se rendre à Aubervilliers pour arrêter deux dealers de drogue, il s’est dit : « Je suis cuit ».
Il connaît bien le département de Seine-Saint-Denis. Il a failli y être lynché un an auparavant en poursuivant un jeune qui avait défiguré au couteau une dame de 85 ans dans une station de métro pour s’emparer de son sac à main.
Il n’a eu la vie sauve que grâce à l’intervention d’un citoyen russe, un colosse ancien para-commando ayant fait ses preuves en Afghanistan. Il était connu et craint dans le quartier.
Bertrand espérait ne plus jamais retourner dans cet arrondissement où il lui semblait qu’il y avait plus de musulmans que partout ailleurs dans le monde entier.
Mais voilà que l’ordre lui est intimé, écrit noir sur blanc avec exécution immédiate : se rendre rue Henri Barbusse à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis dans le 93, pour arrêter les dealers prénommés Mohamed Maghrebi et Ahmed Marroqui.
Quand il monte dans le car de police affecté à cette opération, Bertrand, qui a déjà 15 ans dans la police, pense qu’il n’en sortira peut-être jamais. Il était dans son cercueil. Cette voiture de police était son cercueil. Il pense à sa femme et à ses deux enfants. Il veut les appeler mais se rétracte. Il ne les reverra peut-être jamais. On sort rarement vivant de ce lieu tombé depuis longtemps entre les mains d’envahisseurs venus de loin. Il pense à se désister. À démissionner. Rien ne l’oblige à risquer sa vie. Mais il se ressaisit. Ce serait lâche de se désister. Il ne pourra jamais regarder ses enfants dans les yeux s’il le fait. Il ne pourra jamais se regarder dans un miroir. Il a volontairement opté pour cette vie de policier. Il doit l’assumer. Il doit obéir aux ordres. D’autant qu’il espère pouvoir bientôt passer dans le corps des officiers.
L’émotion le submerge. Il arrive juste à composer un texto de trois mots : « Je vous aime ».
Au volant, le sous-brigadier Didier L., d’habitude jovial et enjoué, est silencieux et blême. Il doit aussi penser aux siens.
Ils roulent pendant une demi-heure avant d’arriver sur place. Le parcours se déroule dans un silence d’enterrement.
Dès qu’ils pénètrent dans le territoire de Seine-Saint-Denis, ils sont saisis d’étonnement. Ils ne croient pas leurs yeux. Des drapeaux français sont hissés à toutes les fenêtres.
« Tu es sûr qu’on est en Seine-Saint-Denis ?», demande Bertrand à son collègue.
« Il ne faut pas s’y fier, répond Didier d’une voix saccadée. Ça doit être un piège. Ils veulent nous endormir pour mieux nous exterminer ». Il soupire et ajoute d’un ton triste et amer en se signant : « J’ai amené ici beaucoup de collègues que je n’ai jamais pu ramener chez eux ».
Les deux policiers sont encore plus étonnés quand, une fois arrivés rue Henri Barbusse, les habitants surgissent aux fenêtres et applaudissent en scandant « Vive la police », « Vive la France ».
Leur voiture est très vite encerclée par des musulmans qui se tiennent à distance les uns des autres. « Tiens, pense Bertrand en laissant un rictus déformer son visage, ils respectent quand même la distanciation sociale ». Il y a aussi des enfants, garçons et filles, qui agitent des fanions tricolores.
Un homme, habillé d’une longue robe blanche, se détache de la foule et avance vers les policiers.
« Salut à vous. Je suis l’imam du quartier, dit-il. Vous êtes ici chez vous et vous êtes en sécurité. Dites-nous ce que vous voulez. On vous aidera. »
Le brigadier-chef Bertrand est incapable de parler. Il n’a pas confiance. Il ne pense qu’à une seule chose : vendre cher sa peau. Il a la main sur son pistolet. Il arrive quand même à exhiber un papier presque en tremblotant. L’ordre d’arrestation des deux individus.
« Ah, dit l’imam, après avoir pris connaissance du contenu du papier, vous voulez arrêter Mohamed Maghrebi. C’est mon fils. Je vais vous le ramener. »
Il s’adresse à la foule en arabe et aussitôt trois gaillards s’en détachent et s’éloignent.
« Ils vont le chercher. Ils ne vont pas tarder. Ma maison n’est pas loin », dit-il à l’adresse de Bertrand qui n’en croit pas ses oreilles. Il n’en croit pas non plus ses yeux. Il n’arrive même pas à les cligner. Ils restent grands ouverts. La bouche aussi. Mais sa main est toujours sur le pistolet.
L’imam l’a remarqué. « Vous n’avez rien à craindre, le rassure-t-il. Vous êtes ici entre les mains de Dieu. Vous êtes nos hôtes. Les hôtes de Dieu. Pour nous, vous êtes plus sacrés que nos enfants. »
Il replonge les yeux sur le papier.
« Mais je vois qu’il y a aussi Ahmed Marroqui », dit-il.
« C’est mon frère », dit quelqu’un dans la foule.
« Va vite le chercher et ramène-le ici », lui intime l’imam.
« J’y vais », acquiesce la personne dans la foule.
« En attendant que les deux personnes vous soient livrées, permettez-nous de vous offrir un thé à la menthe, selon les traditions de notre pays », reprend l’imam.
Aussitôt la foule se fend et laisse passer deux jeunes filles, cheveux au vent teints en blond, mini-jupe et décolleté plongeant, portant chacune un plat avec une théière, un verre avec des rayures dorées et des « cornes de gazelle », ces fameux gâteaux marocains.
C’est l’imam lui-même qui les sert.
On ramène les deux personnes recherchées. Elles ont les mains liées dans le dos avec des cordelettes. Didier se charge de les placer à l’arrière du car.
Bertrand, enivré par le thé à la menthe, balbutie à l’adresse de l’imam : « Nous sommes désolés. Nous avons des ordres. »
« On ne peut que vous en être reconnaissants, dit l’imam. Ce que vous faites est dans notre intérêt aussi. Et dans l’intérêt de ce pays que nous aimons profondément. Vous êtes en train de purifier la société de tous ses parasites. »
C’est pratiquement à contrecœur que Bertrand et son collègue doivent prendre congé de leurs aimables et généreux hôtes. Le brigadier-chef les remercie pour le thé et les gâteaux succulents et particulièrement pour leur collaboration à l’arrestation des deux prévenus recherchés par la justice.
« Je voudrais vous embrasser, dit l’imam rieur, mais ce n’est pas permis par ces temps de pandémie. Revenez quand vous voulez, vous serez toujours les bienvenus. Ici on aime la France. On aime la police. On aime l’autorité ».
Le car redémarre alors que les habitants aux balcons et aux fenêtres applaudissent et scandent « Vive la France », « Vive la police ».
Bertrand s’empresse d’envoyer un texto à sa femme : « C’est extraordinaire. Je suis toujours vivant. Je rentre bientôt ».
Reportage réalisé par Paul Le Poulpe
Nous remercions le commissariat central de police du 32e arrondissement de Paris pour son aimable collaboration à la réalisation de ce reportage.
PS/ Nous venons d’apprendre que BFM TV a décidé, à la lecture de cet article, d’envoyer une équipe sur place. L’équipe a été caillassée.
Nous en sommes désolés. Nous pensions qu’il était clair que ce n’était qu’un « poisson d’avril. »
Que les musulmans crient « Vive la police » et « Vive la France », il n’y a vraiment que les crétins de BFM TV pour le croire.

65 Commentaires

  1. Ah je me disais aussi en lisant je rêve, he oui c’était bien un poisson d’avril, dommage c’était trop beau pour être vrai .

    • Vous êtes un réveur mon cher.Un réveur dangeureux qui croit qu’ un musulman c est beau .RIGOLO.

      • Pas du tout, mais moi je ne met pas tout le monde dans le même sac,il y en a quelque uns qui sont bien,comme dans les fds ,ils y en a des biens et des moins bien .

  2. …puis une fois repartis, à la sortie de la cité, Bertrand s’est réveillé dans une mare de sang, il avait la gorge tranchée et il ne reverra jamais sa famille.
    Il aurait mieux fait de démissionner…

    • Meme si un jour ce recit arrive il ne faudra JAMAIS les croire car les muuzzs / africains sont les rois des menteurs ,,,ne jamais jamais jamais croire un africains/muzz jamais jamais jamais …..

  3. C’est excellent 🤣 Avant la fin de l’article je me suis dit c’est quoi # cette connerie# bravo cela fait du bien un peu d’humour 👍

  4. Si la charia est instaurée de façon constitutionnelle quand les muzz seront majoritaires, il y a toutes les chances que ce poisson se révèle réaliste !!
    Non ? qu’en pensez-vous ?

  5. Ahhh …! ces chers musulmans de France comme ils respiŕent l’honnêteté et la franchise.
    Comme leur prophète doit être fier de ses soumis si dociles.
    Comment ne pas les aimer.
    Cest curieux de constater que contrairement à mes habitudes j’écris ce texte en même temps que je mange à table.
    Une bonne grosse portion de poisson bien apprétée et facile à digérer.
    Tout se passe bien aujourd’hui …

  6. quelle jolie histoire…une plongée dans un pays indépendant au cœur de chez nous.
    comme on voudrait qu’une minuscule partie n’aient pas l’odeur ni le goût du poisson traditionnel.
    la réalité dégage une odeur toute autre, une odeur de soufre….

  7. Dites, ce n’est pas vrai, BFM TV n’est pas allé sur place pour vérifier vos propos? Ils sont c…s à ce point?

    • vous n’avez pas vu que c’est un poisson d’avril ? On est le 1er, je vous rappelle !

  8. J’avoue que je n’ai pas pensé une seconde à un poisson d’avril. Par contre, j’étais sûr que c’était un bobard ou plutôt un rêve et qu’à la fin vous vous étiez réveillé.
    J’ai bien ri en tous cas. Merci pour ce moment.

  9. Ils étaient en mission chez les Espagnols, les Italiens, les Polonais, les Chinois, les juifs et d’autres…pas chez les envahisseurs!

    • Moi aussi je trouvais ça un peu bizarre et j’y croyait encore moins quand il y a eu les jeunes filles en mini-jupes et en décolleté…

  10. Sans caillassage ce serait suffisant, pas besoin de thé n’y de gâteaux, juste un peu de respect pour les policiers, mais ça c’est une autre histoire, pour Avril 2021

  11. J’ai peur qu’à la place du thé à la menthe on soit invité à la kalach et au lance roquettes.

  12. La “Seine saint Denis, 9-3 pour les ouech-ouech, est le département d’I-D-F le plus dramatiquement contaminé nous apprennent les djourneaux.
    Cette nouvelle a profondément inquiété les djeunes guetteurs, les dealers, les prêcheurs salafistes et autres racailles, qui ont décidé de ne plus sortir sans masques FFP2.
    Les cambriolages de réserves d’hôpitaux, d’ambulances et de voitures d’infirmières les ont largement pourvus pour toute la période de confinement. Ils iront désormais trafiquer, ramadaner, livrer leurs merdes, jour et nuit, mais masqués.
    À cause de la rareté des arrivages, schit ou coke sont à prix d’or! Comme ça, les policiers n’auront plus à les verbaliser pour rire… d’ailleurs, sans masques, ils ne venaient plus.
    Y’a du fric à se faire dans le 9-3, allah est ak-barre!

  13. Je ne veux pas être rabat joie, d’ailleurs, en reste t-il dans notre pays dévasté , mais beaucoup semble t-il oublient dans quel marasme nous sommes : alors, les soignants, tous ceux qui se battent pour l’humain, les forces de l’ordre, tous les confinés, les aides à domicile n’ont rien à foutre des conneries à gerber qu’on trouve, ici à Riposte laïque, notamment. ces conneries déversées dans des circonstances dramatiques sont des injures à l’esprit, rien que l’idée d’en diffuser montre que la proportion d’abrutis dans notre peuple n’a, malgré les leçons de l’histoire, en rien diminué, bien au contraire.

    • Les abrutis sont les franchouillards maintenant dans la mouise qui nous ont mis tous ces salauds au pouvoir depuis quarante ans.
      Beau résultat, assumez…

    • Si en plus la critique ou la dérision ne sont plus permises autant se onvertir tout de suite ce sera plus simple

  14. J’ai de suite pensé à un poisson d’avril. C’était cousu de fil blanc. C’est quand même très très bien fait. Bravo! Ça arrivera lorsque la France sera sous la loi de la charia, les policiers tous Muzzs et le que président s’appellera mohamerde.

  15. Si il n’y avait que BFM, mais essayez de regarder France Info, ce sont les journalistes qui pourraient offrir de thé.

  16. 1er avril mis à part, je voudrai voir et savoir combien d’infractions pour non respect du confinement ont été dressées dans les banlieux. C’est vrai qu’il est moins dangereux de verbaliser des papis et mamies de 80 balais que des racailles. Il y a beaucoup moins de risques. En ce qui concerne la morale, c’est une autre histoire.

    • Top secret de toute façon le 93 n’est pas concerné par le confinement ils ont des laisser passer permanents .

  17. La conclusion de l’article est erronée: hélas non, il n’y a pas que les crétins de BFM pour y croire, il y a tous les autres crétins gauchistes immigrationnistes sansfrontiéristes vivrensemblistes. Malheureusement très nombreux.

  18. Guillaume Faburel (géographe): « Les 100 premières villes de France ont une autonomie alimentaire de trois jours » (Vidéo)
    Entretien du 31/3/2020 avec Guillaume Faburel, géographe, enseignant à l’Université Lumière Lyon 2, professeur à Sciences po Lyon. Il analyse les conséquences de la métropolisation sur la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus, et s’exprime plus généralement sur cette crise avec son point de vue de géographe.
    https://www.tvlibertes.com/actus/guillaume-faburel-geographe-les-100-premieres-villes-de-france-ont-une-autonomie-alimentaire-de-trois-jours-video?is_wppwa=true

  19. Excellent sujet de science fiction, hypothèse : sans doute le passage “d’un virus extra terrestre” , hélas c’est la qu’est l’os, c’est le 1er avril…

  20. Vous m’avez bien eue!!!
    En lisant cette histoire, je n’y croyais pas : vraiment, c’est un miracle me disais-je, impossible mais peut-etre que les miracles existent. Bel optimisme.
    Ce poisson d’avril devrait être imprimé et distribué.

  21. Le 9-3 est rempli de maquereaux, et les “sardines” galonnées sont embrochées.
    Ils travaillent sans filet !
    Chalut !

  22. Excellentissime, mais au fil du récit, j’ai pensé que vous relatiez un rêve ; je n’avais pas pensé au 1er avril…

  23. Que les poules auront des dents et que les crevettes siffleront. Patriotes connaissent les remèdes.

  24. c’est pourtant pas les élections surtout le premier avril des moutons en marche pour une nouvelle tonte.

  25. Pontoise (95) : “Une vague de “jeunes” arrive en réanimation , 1/3 a moins de 35 ans , il faut faire le tri parmi les patients ” . Alors, qui que c’est qu’est le plus fort , le minus microbe invisible ou l’imbécile qui se croit au dessus du “lot” et qui reste au pied des barres pour vendre de la merde ?⚰☠ . Source : François Desouche .

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