Amélie de Montchalin, une insignifiante péroreuse, face à Zemmour

Dans ce gouvernement de baltringues, j’ai découvert une nouvelle pécore, Amélie de Montchalin. Au départ j’ai cru Monmachin, je me suis fait la fantasmagorie.

Hier elle était face à Zemmour.

Elle c’est le prototype de la connasse au lycée que t’avais envie de gifler, pas de sortir avec, la gifler. La petite prétentieuse, hautaine, antipathique avec ses pairs mais toujours obséquieuse avec les profs. En résumé t’as pas envie de faire la brouette andalouse avec elle encore que… des fois il y a des surprises.

Cette péronnelle de compète est ministre de la Fonction publique, pardon de la Transformation, oui Narcissius c’est un magicien de cirque. Elle a donc affronté Zemmour avec sa tête de Cruella d’opérette.

À la base déjà, elles se ressemblent toutes, Poirson, Wargon, c’est le clan des anorexiques. Bon Lili ou Lolo Marlène niveau IMC compense largement.

Bon Amélie c’est le défilé de poncifs, de lieux communs, de propos qui ne veulent rien dire et se contredisent, c’est la secte macroniste dans sa splendeur. Elle récite sa petite leçon, gestuelle à l’appui.

Au passage, Zemmour sur l’ENA a tout faux, c’est un ramassis de cons, d’arrivistes et d’incompétents notoires, on peut supprimer. En plus le débat est faussé, la fonction publique n’est pas que la prétendue haute fonction publique…

Il est encore dans la nostalgie d’une époque révolue, les vraiment bons diplômés ne restent pas en France ou vont dans le privé.

En bref c’est du verbiage technocratique. En fait l’objectif c’est permettre à la diversité d’obtenir des postes.

L’intéressant est que cette dingo n’a pu s’empêcher de souligner qu’elle a fait Harvard, ceci montre sa personnalité, sa suffisance, « Moi je… »… tout cela est représentatif de la secte Macronus.

Sauf qu’Amélie a un peu gonflé le CV, comme certaines le font à l’hélium pour les nichons, visiblement elle n’est pas concernée sur ce point. Sauf que les artifices finissent par se voir.

Certes elle a fait Harvard, en fait, le sous-produit qui délivre des diplômes de gestion publique (John F. Kennedy School of Government ), ce que font des tas de facs françaises, ça s’appelle un master, avant on disait maîtrise. Master ça fait mieux, ça fait véhicule utilitaire, c’est bien la preuve que ça sert à quelque chose…

Harvard l’institution, c’est autre chose, c’est un autre niveau.

Amélie tu sais, sérieusement… j’ai fait les 24 h du Mans… les bars de la ville pendant 24 h… donc j’ai fait…

Amélie c’est la gonzesse qui t’explique avec aplomb qu’elle a bossé à la scuderia Ferrari, ça impressionne, sauf que c’était à la compta.

Amélie, sa fac, c’est un peu comme les fonds de cuve, vendus à prix excessif, par les grands producteurs de grands crus, l’étiquette permet de tromper le client.

Ensuite, elle veut lutter contre l’entre-soi dans les sphères du pouvoir. C’est bien, c’est beau comme du maquereau. Là Zemmour a loupé un peu le coche en évoquant McKinsey qui s’occupe de la gestion du Covid, oubliant, il devait l’ignorer, Boston Consulting Group en charge aussi du problème. Là, le souci est que pur hasard, son mari Guillaume en fut un membre éminent jusqu’à récemment.

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Si c’est pas de l’entre-soi, la petite caste qui se refile les postes, les marchés, oui ils se connaissent tous, ça s’appelle comment, Amélie ?

En plus sa justification pour faire appel à ces boîtes est oiseuse « C’est parce qu’on sait pas faire », dans ce cas faut virer tout le monde, à commencer par les ministres. Déjà faudrait qu’elle nous explique comment elles ont obtenu le marché. Ils sont où, les appels d’offre ?

En résumé, c’est une insignifiante péroreuse.

Amélie, je suis sympa, je donne toujours des conseils. On va passer sur Harvard, par contre ton jeu est limité, tout est téléphoné chez toi, on voit celle qui a pris des cours dans une boîte de com au rabais. Le conseil, tente ta chance à l’Opéra Comique, dans un rôle à contre-emploi t’as tes chances.

S’il le faut je te pistonnerai. T’as bien dit que ta génération ne resterait pas 40 ans dans le même métier, au demeurant déjà bien beau qu’ils aient du boulot.

Faut le faire maintenant, après ça risque d’être trop tard, ben oui, entre les médecins de plateaux et tes collègues du gouvernement, va y avoir de la concurrence.

Paul Le Poulpe