Macron giflé : j’ai encore la joue toute endolorie…

J’ai eu la révélation, je suis l’élu ! Sur le coup j’ai pas voulu y croire mais il m’a fallu me rendre à l’évidence, je suis stigmatisé… mais pas comme un musulman des cités.

Je me suis levé ce matin, la joue gauche endolorie, gonflée et rouge, ce sont des signes qui ne trompent pas !

Hier comme vous tous, bande de mécréants, je me suis gaussé des propos de LiliGrossMarlène :

Quand le président de la République est agressé, c’est chaque Français qui reçoit un coup”…

Durant cette journée où nous faillîmes perdre notre vénéré Président Maréchal Docteur Narcissius Macronus 1er l’omniscient Vie-Force-Santé, d’autres messages m’ont été adressés.

L’image de l’agression, oui j’ai douté de la sincérité de l’acte quand j’ai vu notre Maître à tous se précipiter vers les rombières en chaleur, je me suis dit il est attiré par le parfum capiteux de ces vieilles bigotes énamourées.

En fait – et je l’ignorais à cet instant, il me soumettait à l’épreuve ; d’ailleurs le gifleur est lui-même un instrument de la volonté divine, il en sera remercié divinement, je n’en doute pas.

Aveugle que j’étais !

J’ai persévéré dans l’erreur en refusant d’entendre les paroles de sagesse d’Emma La Décarcasseuse… Elle qui fut suspendue comme une vile fachote complotiste par Twitter…

Heureusement la nuit a porté conseil, mon subconscient m’a alors guidé vers la vérité.

Désormais JE SUIS L’ÉLU, grâce soit rendue à Narcissius 1er Vie-Force-Santé, notre phare éblouissant qui ne s’éteint jamais. Il m’a parlé et m’a ordonné «  Tu es une Tarte et sur cette Tarte tu vas construire ma Tarte-Up Nation, va ! ».

Ainsi sera fait. Je vais de ce pas partir en mission et propager la bonne nouvelle, ma sainte joue sera offerte à la dévotion des fidèles et des soupçonneux (résultats garantis 100 % je m’y engage et persiste et signe)…

Je ne demanderai rien, juste quelques offrandes (bitcoins, espèces, CB, virements acceptés, pas les chèques), pour bâtir l’église miraculeuse de la Sainte Tarte dont je serai le fidèle berger.

Paul Le Poulpe