Scoop : l’homme “déconstruit” de Sandrine, c’est l’homo Serne !

Depuis que Sandrine Rousseau a lancé cette formule-choc, révélant des pans intimes de sa vie, lors du débat qui l’opposait à Yannick Jadot, toutes les rédactions se sont précipitées sur le dossier, et chacun a voulu être le premier à savoir qui était cet heure homme “déconstruit”.

Et là encore, le bon vieux sens pays de notre ami Marcel Berrichon a confirmé que le paysan était cent plus efficace que le bobo des Villes.

Notre ami Marcel, qui entretient un rapport parfois rugueux avec son camarade Pierre Serne, qu’il appelle parfois “Pierrot”, nous a informés que c’était bien celui-ci qui partageait le quotidien de sa cheftaine Sandrine.

Certes, à la vue de cette photo, nous avions compris qu’il y avait anguille sous roche, la main de Pierre Serne frôlant le mamelon en érection de Sandrine, sous le regard concupiscent de Paul Laurent, grand révolutionnaire communiste qui continue la lutte des classes au Sénat. Mais grâce aux réseaux de Marcel, à présent, nous savons tout.

En fait, on est dans le polyamour. C’est la formule nouvelle qui permet à tout le monde de coucher avec tout le monde, comme dans les années post-68, mais c’est plus élégant que “jouir sans entraves”.

Donc, Sandrine était terrorisée par les hommes, depuis que Denis Beaupin avait essayé de la violer dans un couloir, mettant ses mains sur ses seins, et essayant de l’embrasser sur la bouche. Elle a raconté ses malheurs chez Ruquier, mais a eu la malchance de tomber sur la folle Christine Angot, en pleine crise de démence. Elle a hurlé qu’elle avait subi bien pire, évoquant son viol par son père. Dépitée, Sandrine avait fondu en sanglots, rappelant que cette mésaventure lui avait coûtée un divorce (à partir de 8′).

Donc, Sandrine, depuis cette date, ne peut plus supporter les hommes, et encore moins l’idée d’un sexe en érection. Cela lui donne la nausée. C’est pourquoi elle s’était rapprochée d’Alice Coffin, qui fait partie de son staff, et chez qui elle avait trouvé la même vision, la même répulsion, pour les mâles.

Certes, Alice vivait en couple, mais cela s’arrangeait bien, car c’est bien connu, chacun est libre, et n’est la propriété de personne.

Mais la présence du mâle manquait quand même à Sandrine, qui se repassait en boucles deux films cultes, “Jules et Jim”, de François Truffaut, et “Pourquoi pas”, de Coline Serreau. Mais quelque chose la heurtait, dans ces deux films de polyamour, il y avait à chaque fois deux hommes, mais une seule femme.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pourquoi_pas_!

Sandrine et Alice discutèrent longuement, et passèrent une soirée avec Pierre Serne et son mari William Hamon.

Et l’accord se conclut. Trois jours pas semaine, Pierre Serne, seul, sans son mari, partagerait la couche des deux femmes, mais en tout bien tout honneur, sans le moindre rapport sexuel. Pierre avait été formel, cela lui donnait la nausée, et il exigea de dormir avec trois sous-vêtements, par sécurité. Et puis, il n’avait pas oublié la phrase de Sandrine “Nous prenons, nous utilisons, nous jetons le corps des femmes”. Et Pierre avait beau être né homme, il se sentait davantage femme, malgré tout. Mais sa poitrine velue rassurerait les deux femmes, et d’autre part, en bon homme déconstruit, c’est lui qui ferait le ménage, la vaisselle, les commissions, les lessives et le repassage.

Mais en contre-partie, il avait su assurer ses arrières, car il n’avait plus de travail, depuis que les Verts l’avaient viré de la Région Ile-de-France. Il avait donc eu la promesse d’être co-directeur de campagne de Sandrine Rousseau, avec Alice Coffin, et celle d’être ministre du genre, si Sandrine accédait à l’Elysée. Tout le monde était content !

Et depuis des semaines, ce trio amoureux vit un parfait polyamour trois jours par semaine, avec deux femmes. Mieux que “Jules et Jim” et que “Pourquoi pas !”

Paul Le Poulpe