Benoit Cohen nous raconte l’amour de sa riche mère veuve et d’un jeune Afghan

Je vais bientôt me remettre à ma rubrique culturelle et critique de cinéma.

Un grand film français vient de sortir et je pense que compte tenu du synopsis et de la distribution nous frisons le chef-d’œuvre.

Il s’agit de « Ma France à moi », déjà le titre est prometteur, tu envisages l’histoire d’un faf nostalgique d’un pays révolu, qui revient sur les traces de sa jeunesse.

Pas du tout, c’est moderne, c’est tendance, c’est universaliste, ouvert sur les autres cultures qui apportent tant dans un enrichissement réciproque. Ce film narre la vie d’une riche veuve bourgeoise parisienne, qui s’entiche, malgré l’hostilité de son fils raciste, d’un réfugié afghan.

Vous remarquerez que ces histoires  se passent toujours chez des friqués, qui n’ont plus comme problème existentiel que de s’occuper du clando nécessiteux ou du sort de la planète.

Comme vous pouvez vous en douter, à la fin le fils adepte de Betty Monde devient ami avec le clando et tout le monde est heureux. Il n’est pas précisé s’ils se mettent en couple, ce serait peut-être trop avant-gardiste avec un musulman.

Comme évoqué, la distribution est éloquente, le réalisateur est le très célèbre et mondialement connu Benoit Cohen et la vedette principale, la has been hors série, la Adèle Haenel des retournées d’âge, la révolutionnaire de salons mondains, Fanny Ardant.

Y a pas à dire ça donne envie !

D’autant plus, quand tu te rends compte que le réalisateur est le fils de la milliardaire rouge qui voulait implanter des clandos à Callac. Et que le mec qui titre son film “Ma France à moi” vit aux États-Unis !

La pleureuse Benoît Cohen, écrivain à migrants, réécrit l’histoire de Callac

Callac : la riche famille Cohen a décidé que les Africains remplaceraient les Bretons

Voilà qu’on les retrouve au cinéma ! Ah si Callac n’avait pas foiré, ils en auraient fait une saga sociale d’au moins 3 heures, hélas, il leur a fallu trouver autre chose.

Finalement, le Benoit n’a pas eu besoin d’aller très loin pour son scénario, il a tout simplement adapté à l’écran la vie de sa mère, la veuve ½ mondaine, héritière pleine aux as, en mal d’affection exotique, afghan en l’occurrence.

Quant au pognon, ce fut une formalité, certes dans la famille ils en sont farcis, mais le mieux c’est d’avoir du financement public; ainsi la région IDF présidée par Valy Détresse, la -5% de la Droite fourbe, a accordé 240 000 euros de subvention.

C’est le miracle du cinéma français que de gagner de l’argent avec des films sans spectateurs. C’est le contribuable qui prend les risques financiers, c’est un loto magique où tu gagnes à tous les coups !

Parlons-en du futur succès, le film a des critiques élogieuses du Monde et de Télérama, c’est déjà un bon signe !

Mais la vraie question est : Fera-t-il plus d’entrées que le dernier BHL ?

C’est important, il en va de l’honneur de ce dernier !

26 Commentaires

  1. Vous êtes toujours aussi épatant: “ce film fera-t-il plus d’entées que le dernier film de BHL.”

  2. ces gens sont d’une immoralité ,d’une indécence, d’une malhonneteté qui mérite les pires chatiments

  3. Fanny Ardant c’est un bon choix pour tenir le rôle de la mère Cohen ; en les regardant bien toutes les deux, il y a une petite ressemblance, un petit quelque chose qui les rapproche, la bourgeoise mondaine sûre d’elle et conquérante qui agace le pékin de base comme moi. Et voilà que le fiston planqué aux USA nous fait un film à la gloire de sa môman !!!…Basta !

  4. Waouw, le regard énamouré, protecteur, un brin méprisant, un brin implorateur de Fanny. Et celui de l’amant …Tu y vois toute la taqyia du monde, déjà qu’en la matière les hommes sont fortiches…Plutôt un vibromasseur que de toucher à cette viande misogyne.Un peu de décence les filles, on n’est pas des mecs qui tirent sur tout ce qui bouge !
    La faim ne justifie pas tous les moyens.

  5. Cohen et pognon…y a comme un pléonasme….
    Un exemple de plus: le juif tente encore une fois d’ancrer dans les esprits faibles que la tolérance est une vertu. Au regard de l’histoire de ce peuple on comprend pourquoi.

    • Je me suis toujours demandé pourquoi YVH avait choisi précisément ce peuple là…je ne leur ai jamais rien trouvé d’extraordinaire , bon , à une époque , comme tailleurs ils n’étaient pas mauvais , mais ils ont beaucoup décliné !

  6. Donc un film sur l’histoire d’une mal baisée cougar en mal d’amour. Elle joint l’utile à l’agréable.Utile pour elle en se donnant bonne conscience.Comme c’est beau, on en reverait ! J’espère qu’elle l’aura désarmé avant de l’accueillir dès fois qu’elle tomberait accidentellement sur un couteau malencontreusement placé sur son chemin par le plus grand des hasards !! Et oui il faut y croire, c’est beau l’amour, le vrai, le sans frontière. Dire qu’on est de méchants racistes.c’est un film médicament, pour se guérir de nos vilains préjugés
    Quand on ressort on aime tout le monde surtout les migrants. Allez n’oubliez pas les mouchoirs !!

  7. Encore un film français sur le social à la mord moi le nœud,je ne suis pas prêt de remettre les pieds dans un cinoche

  8. Si la France est un clone d’Israel, il y en a, en France, qui devraient ouvrir grand les yeux et se faire du souci. On a déjà vu, en France, que les hommes afghans ne sont pas toujours très tendres.

    • Mème le PAKISTAN ( Pour l’OUMMA on attendra ), en a mare des crimes , assassinats , causés par les “réfugiés ” afghans , et a décidé d’en renvoyer , manu militari , en AFGHA , 1, 5 million !

  9. comment il s’appelle déjà, le….producteur musical de nick conrad, à croire que la totalité des moyens de communication en france se trouvent aux mains de ces satanés Bretons, c’est ni en afrique ni au maghreb ni au m-orient qu’on leur permettrait de faire leurs gros discours hautement rétribués, ni en chine ni ni ni…..

  10. Navet à propagande avec une équipe de collabos bien gluants, bonne subvention des con-tribuables et …. 10 entrées.
    Tout va bien !

  11. C’est là qu’on voit que le lobby qui n’existe pas est toujours au premier rang des immigrationistes, sauf en Israël il est vrai, et encore, voire !
    Petite seiche devrait commencer à réfléchir ! Mais en est-il capable ?

  12. Fanny Ardant la mal nommée est en fin de vie !
    Quant à Cohen c’est un TDC de la tribu de BHL, l’anti-France !
    Le problème est la collaboration de Pécresse avec l’argent des autres, cette bobo puante est une collabo de la pire espèce !

  13. Je pensais au début que votre article était encore une fiction pour rigoler, mais on constate que ce gros navet existe bel et bien et qu’il ira rejoindre la cohorte des films qui tiennent péniblement une semaine en salle.
    Pas grave, il passera bientôt à la télé et s’imposera au programme des vieux qui s’ennuient dans les Ehpad et des gens qui n’ont pas conscience qu’on leur demande de se serrer toujours plus la ceinture pour accueillir toujours plus de “réfugiés”
    Fanny Ardant a-t-elle à ce pont besoin d’argent pour tourner dans ce genre de daube?

  14. J’espère que pour notre culture, ils nous montreront quelques scènes d’un match de bouzkachi, une sorte de polo afghan ou la balle est remplacée par la tête d’un kouffar, c’est bien quand même d’essayer de s’approprier la culture d’un pays aussi enrichissant.

    En plus j’aimerais bien savoir comment ils vivent, comment ils dealent, comment ils cultivent le pavot, fabrique l’héroïne, toussa toussa.

  15. J’irais bien voir ce film qui s’annonce vraiment super, mais j’ai peur de ramasser, en plus d’une bonne dose de culture, quelques punaises de lit !
    #boycottcinoche

  16. “ma france à moi ” ! alors qu’il n’y habite même pas : quel imposteur ! bobo anti-france , de plus traitre à la cause israélienne : c’est sûr qu’on ne risque pas de le voir travailler dans les kibboutz et se faire massacrer par ses protégés – le ridicule, la niaiserie de ce genre de film qui épouse tous les poncifs du genre ne tue pas ceux qui les tournent : une chance pour eux

  17. Un article salutaire, à IMPRIMER et à ENVOYER par La Poste à la maman du fils Nik-pas-sa-mère (puisque c’est l’afghan qui s’en charge) afin qu’elle sache qu’il y a encore des français pour reconnaitre, même de très loin, une grosse bouse de gnou quand ils en sentent une, et qu’ils ne vont certainement pas en plus payer pour aller la voir au cinéma, faut quand même pas déconner !
    L’adresse postale de la môman au fi-fils se trouve sur la page https://fondsdedotationmerci.org/contact/nous-contacter
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  18. La dernière fois que j’ai mis les pieds dans une salle de cinema, c’etait pour accompagner mes petites filles voir un dessin animé, elles sont grande maintenant, le cinema il y a bien longtemps que je n’y vais plus, alors le film, “Ma France à moi” qui n’est certainement pas la mienne ce sera sans moi.

    • Moi avec mon fils aussi, et c’était “Up”, film en dessins animés, en 2009. Les héros sont un vieillard irascible et un petit gamin obèse, tous deux blancs (tant pis pour le “métissage citoyen” et la “citoyenneté métissée”), américains (et non pas afghans, eh zut !), et apparemment pas musulmans pour deux sous (pas une seule fois dans le film ils n’accroupissent en éructant “allah-rallah-ralaallah”).

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