Il y avait longtemps que les journaleux ne nous avaient pas montré l’étendue de leur savoir-faire quand ils évoquent Hayange. En mission commandée, une nommée Noémie Rousseau, correspondante à Strasbourg de Libération (qui ne survit que grâce aux perfusions gouvernementales) se livre, dans l’article ci-dessous, à un rare déni de réalité, où suinte la haine des travailleurs, du peuple, des “pue-la-sueur”, et surtout des petits Blancs. Elle se permet même, et c’est le pompon de cet article, de reprocher au maire d’Hayange d’avoir mis une crèche devant sa mairie, avec des rois mages blancs.
Si après cela, la bougresse n’obtient pas une promotion de son gourou Joffrin-Mouchard, c’est vraiment qu’elle n’aura pas su faire ce qu’il faut…
Je répondrai en rouge, entre chaque paragraphe, pour mieux démonter l’ampleur de l’imposture.
Paul Le Poulpe
A Hayange, «le FN, c’est une petite dictature»
Dans la ville de Moselle, Fabien Engelmann, de plus en plus isolé, cumule gestion calamiteuse et règne de la terreur.
Hayange, en Moselle, c’est cette ville où se dressent les hauts-fourneaux éteints, rappelant les promesses non tenues de la gauche et de la droite. Cette ville conquise en 1995 par le socialiste Jean-Pierre Masseret (tête de liste dissidente de la gauche pour la région), qui refilera deux ans plus tard le fauteuil à Philippe David pour rejoindre le gouvernement.
Hayange, c’est cette ville où la gauche a refusé de se désister au second tour des municipales 2014 au profit du candidat UMP.
Il faut déjà savoir qui est cette pisse-copie. Nous l’avions épinglée, il y a quelque temps, montrant son parti-pris et son militantisme politique contre le maire d’Hayange.
http://www.liberation.fr/politiques/2014/11/03/a-hayange-ou-est-passee-la-caisse_1135478
http://www.liberation.fr/politiques/2015/06/09/a-hayange-la-colere-monte-contre-le-fn_1326283
http://www.liberation.fr/politiques/2014/12/16/hayange-le-maire-fn-a-l-heure-de-l-addition_1165078
La journaleuse Noémie Rousseau confirme dans ce nouvel article à charge qu’elle est d’une rare malhonnêteté, ce que nous allons démontrer sans aucun mal. Au soir du premier tour des municipales, Fabien Engelmann est en tête avec 30 % des voix. L’UMP arrive deuxième avec 20 %, le PS et son maire sortant troisième avec 19 % (quelle claque !) et le PCF, avec les derniers staliniens d’Europe de l’Ouest, fait encore 13 %. Alors que la cosaque Iorio a fait toute sa campagne en tapant sur les socialauds, elle opère une volte-face entre les deux tours, et fusionne sa liste avec celle du maire sortant, David. Mathématiquement cela peut marcher puisque le total des voix des deux camps dépasse le score du FN au premier tour. Dans les faits, ce sera un fiasco. Seule la moitié des électeurs PCF voteront PS-PC, d’autres resteront chez eux, d’autres enfin voteront FN. Fabien sera élu avec 34 % des voix, l’UMP finira deuxième avec 28 % et David troisième avec 27 %. On est donc très loin du scénario Masseret dans le Grand Est que la petite propagandiste de Joffrin essaie de nous vendre.
La victoire est allée au FN Fabien Engelmann. Le lendemain de son élection, on se souvient lui avoir trouvé un air mal assuré, presque vacillant sous le poids de l’écharpe. Au QG de campagne, son équipe riait à gorge déployée, des petites gens, des employés, coiffeuses, ouvriers, mères au foyer, chômeurs, étudiants, retraités, un sosie de Johnny, un autre d’Eddy Mitchell… Des oubliés qui s’engageaient pour le FN parce qu’ils avaient tout essayé. Et puis, ils se sont tous déchirés.
Passons sur le nouveau maire qui vacille sous le poids de son écharpe, ceux qui vacillaient, le lendemain du deuxième tour, étaient les vaincus, et principalement les socialo-communistes qui avaient pris une monumentale claque, malgré leurs magouilles d’entre deux tours. Par ailleurs, ce passage montre un rare mépris pour le peuple, pour le monde du travail, pour ceux qui souffrent au quotidien, pour ceux que Hollande appelle les sans-dents ! L’équipe de campagne a gagné, et les vainqueurs, d’origine modeste, osaient être heureux. C’est une véritable haine de classe qui s’exprime par la plume de la petite bobo de Libération. Mais là encore, la bougresse ne dit pas tout. Elle n’évoque pas les cris de haine des vaincus, soutenus par certains musulmans, qui iront jusqu’à siffler La Marseillaise. Elle ne parle pas de l’attitude de ceux qui refusent le verdict des urnes quand il ne leur convient pas. Elle n’a pas vu cette socialiste dégénérée qui, toute la soirée, a multiplié devant le local de campagne les provocations à l’égard des vainqueurs, qui garderont un sang-froid exemplaire. Pourtant, elle n’a pas d’excuse, elle a forcément vu cette vidéo, qui résume tout, et montre où était la haine.
Anxiolytiques. Le premier été, la première adjointe, Marie Da Silva, brandit les comptes de campagne frauduleux. Elle entraîne avec elle toute une partie de la majorité. L’été suivant, nouvelles magouilles de campagne mises au jour (pour les législatives 2012), nouveau premier adjoint à la porte. Les cadres aussi sont partis ou se sont fait virer.
Hélas pour Noémie Rousseau, il y a juste un petit souci. Alors que pendant une année, toute la presse parisienne (et elle en premier) s’est acharnée sur le nouveau maire d’Hayange, mettant en avant les témoignages de ses nouveaux opposants, et les prenant pour argent comptant, le Conseil d’Etat, au grand dam des lyncheurs médiatiques, qui avaient déjà préparé le champagne, a validé l’élection de Fabien et donc débouté toutes les calomnies de Marie Da Silva. Il aurait juste été bien que les lecteurs de Libération le sachent, puisqu’il paraît qu’il y a une déontologie dans ce métier, voire même une charte de journalistes…
http://www.snj.fr/content/charte-d%E2%80%99%C3%A9thique-professionnelle-des-journalistes
Le déficit de compétences se creuse à mesure que la majorité autour d’Engelmann se rétrécit. Aujourd’hui, la clique de dissidents milite pour les régionales avec un seul mot d’ordre : faire barrage au FN. «A ceux qui seraient tentés de voter FN, je tiens à rappeler que vivre sous le FN, c’est une petite dictature», confie un habitant.
La clique des dissidents se résume à quatre noms, donc celui de Damien Bourgois, que Fabien avait prévu d’installer maire s’il avait été destitué par le Conseil d’Etat. Sans doute dépité par la non-concrétisation de ses ambitions secrètes, il a dès l’annonce de la décision judiciaire maintenant le maire en place, attaqué celui-ci dans la presse sur des affaires remontant à 2012. Là encore, il aurait été bien que les lecteurs de Libération soient informés de ce détail, mademoiselle Rousseau.
Ce qui a changé dans le quotidien ? Presque tout le monde a peur. Peur de parler, peur d’être vu avec une personne qui n’a plus les grâces du maire, peur d’être relégué, stigmatisé. Vingt et un mois que les délégués du personnel municipal racontent le «climat de terreur». Un syndicaliste avoue être sous anxiolytique à force de recevoir des collègues en pleurs. L’autre jour, l’un d’eux l’a appelé, il allait se suicider sur son lieu de travail.
On ne doit pas vivre dans le même monde que cette journaleuse. Quiconque se promène à Hayange voit que le maire bénéficie d’une énorme popularité, à l’instar de Robert Ménard à Béziers. Quiconque a vu lors de la Fête du Cochon (3000 participants), les citoyens de cette ville remercier le maire pour tout ce qu’il fait, comprendra que cet article est digne d’une journaliste de la Pravda. Les habitants de la ville sont fiers de leur maire et sont conscients qu’il tire Hayange vers le haut. Ils paient moins d’impôts, et bénéficient de davantage de services et de qualité de vie, notamment du droit à la sûreté. Qu’un syndicaliste CGT Front de Gauche qui est payé pour foutre la pagaille dans une mairie parce qu’elle est aux antipodes de ses engagements politiques essaie de faire croire qu’Hayange, c’est Cayenne, pourquoi pas ? Qu’une journaleuse relaie de telles élucubrations (il est où le suicidé ?) confirme que c’est une militante politique déguisée en journaliste.
Après le bureau capitonné anti-espionnage du maire, une porte blindée avec digicode est en projet pour accéder aux bureaux du premier étage. La maison du peuple se bunkerise. Toute personne gênante est sortie manu militari du conseil municipal. Plusieurs adjoints ne viennent même plus en mairie.
Vu le climat de haine qu’entretiennent opposition de gauche et quelques syndicalistes qui ne représentent qu’eux mêmes (à peine dix personnes quand ils veulent déclencher une grève), il serait irresponsable qu’un maire laisse le premier abruti venu venir vandaliser son bureau et malmener le personnel. Quant aux personnes sorties manu militari du conseil municipal, ce sont simplement des perturbateurs qui, derrière un bobo gaucho local qui se prend en même temps pour Jean Moulin et pour Che Guevara, hurlent à longueur de conseil municipal et insultent le maire. Ils empêchent délibérément l’exercice de la démocratie, et font tout pour se faire virer pour crier ensuite au fascisme avec la complicité de nombre de Noémie Rousseau.
Sur Facebook, la vulgarité semble n’avoir aucune limite. Sur plusieurs vidéos, on voit des adjoints venir régler leur compte avec des opposants au pied des immeubles. Cinq adjoints hayangeois figurent en bonne place sur la liste de Florian Philippot. Il se murmure qu’une fois élu conseiller régional, Engelmann pourrait faire démissionner le conseil municipal devenu ingérable.
Tiens, on apprend enfin que Fabien sera élu conseiller régional ce dimanche ! On ne voit pas, par ailleurs, dans une région où la seule mairie FN est à Hayange, où serait le scandale si cinq adjoints de la ville sont en bonne position (dans la réalité, outre Fabien, seuls deux sont éligibles, nouvelle faute, mademoiselle Rousseau). Quant au fait qu’ils viendraient régler leur compte aux opposants, au pieds des immeubles, laissons, là encore, Rousseau à ses malveillances partisanes, mais rappelons tout de même que dans notre pays, la règle, c’est que ce sont des antifas gauchos qui, en toute impunité, cassent du patriote et du militant FN…
Les rois mages. Le point d’orgue de la prochaine saison culturelle sera un concert du sosie d’Elvis. Et un parking est en projet. «A part faire des économies, l’équipe ne fait pas grand-chose», lâche un agent. Un coup de balai, un coup de peinture.
C’est certain que le nouveau maire d’Hayange ne va pas filer 10.000 euros à des artistes copains comme celui qui a fait la fameuse fontaine… Et un concert du sosie d’Elvis, cela devrait plaire à ce peuple que méprise tant Libération…
Restent les provocations. Comme la crèche géante sur le parvis de la mairie où les rois mages sont tous blancs comme neige. Et la Vierge en bleu blanc rouge.
C’est vrai que cela est très grave ce que vient de faire Fabien, et que cela confirme que, telle une Nadine Morano, il ose affirmer que l’histoire de notre pays et de notre civilisation a été faite par des hommes blancs, à l’image de Jésus, de Marie, des Rois Mages, de Charlemagne, de Clovis, de Jeanne d’Arc, de Louis XIV, de Napoléon ou de de Gaulle… Quant à la Vierge en bleu blanc rouge, la propagandiste a oublié que depuis le 13 novembre, pour les socialauds, le drapeau tricolore n’est plus fasciste. Autre horreur, la Marianne de la mairie est, elle aussi, blanche comme neige ! On espère qu’à la lecture d’un tel article, le Cran va déposer plainte, relayé par tous les vautours de l’antiracisme.
Mercredi, un goûter de Noël pour les enfants pauvres était organisé par le Secours populaire, les Restos du cœur et le Centre d’action sociale. «Engelmann a décidé que seuls pourraient venir ceux dont les parents touchent les minima sociaux, donc exit les migrants ! On y va quand même parce qu’on ne veut pas abandonner le terrain», explique Anne Duflot-Allievi, présidente du Secours Populaire, dont la subvention est passée de 2 700 euros à 500 euros.
Quelle horreur ! Les clandestins, qui souvent n’ont pas d’enfants, n’ont pas été invités ! Et pire, ce que ne sait pas la valeureuse présidente du Secours Populaire, c’est qu’ils n’ont pas eu le droit de voter à Hayange !
En 2014, Engelmann a été élu avec 34 % des voix. Dimanche dernier, la liste Front national a fait 45,9 %. Mais entre les deux, le maire a perdu 300 électeurs, soit 6,5 % des voix.
Bref, dans un climat où Hayange est devenu une dictature dans laquelle le maire ne fait rien pour sa ville, en une année et demi, Fabien Engelmann a fait passer le FN de 34 à 45 %, soit une progression de 11 points. Mais sous la plume de Noémie Rousseau, cela devient un recul de 6,5 %. Alain Soral, qui n’est pas notre ami, disait “qu’un journaliste, c’était un chômeur ou une pute”. Nous ne sommes pas inquiets, Noémie Rousseau aura toujours du travail… tant que ce système sera en place !
Paul Le Poulpe
chez nous , une dame de cet acabit aussi aigrie , on appelle ça une “mal B…..”
que devrions nous dire de vous marcel? il me semble que c’est sans doute votre aigreur qui est arrivée à son comble..
Même si c’est vrai ?
Faut pas le dire ça fait de la peine aux gauchiasses…
Étant habitant d hayange je remarque qu’il y a plus d erreur en rouge qu en noir! Certes la journaliste à fait quelques erreurs mais les trois quarts de ce qui est écrit en rouge c est faux!
“Mentez, il en restera toujours quelque chose”.
Et cette maîtrise lamentable du français… journaleuse, on se demande franchement si l’honneur de la France doit être défendu par des faiseurs de barbarismes en série.
Le Conseil d’État ne partage pas votre avis. En outre, la vidéo jointe à l’article est plus parlante que toutes vos dénégations ; une caméra ne ment pas. Vous avez perdu les élections parce que vous êtes mauvais. Et même mauvais perdants. Mais ça ne fait que commencer….
Je n ai rien perdu car je ne me suis pas présenté… certainement une haine envers un arriviste ex cgtiste, ex npa voila une incohérence! Être depuis toujours d extrême gauche et se retrouver à l extrême droite
Seuls les imbéciles ne changent pas d’avis…
Noemie Rousseau aura toujours du travail tant qu ‘il y aura des CONS!!!!
Cette bonne femme n’a pas encore fait un papier sur la mairesse de Paris ? C’est vrai que Paris a une chance énorme: avoir un maire aussi génial que la hidalgo, c’est pas donné à tout le monde ! C’est donné seulement aux “pas dégourdis”.
vous êtes minable
Chers,
Il me semble déjà que l’utilisation des termes “bonne femme”, “journaleuse” évoque déjà votre incapacité chronique à défendre toute valeur française.
Ceci étant, je constate que les propos tenus en rouge dénotent surtout de votre capacité à manipuler l’opinion publique désabusée, multipliant ainsi vos tentatives de récupération de voix faciles.
Fort heureusement, il subsiste encore des professionnels qui ont le courage de dénoncer vos dérives dans ce que vous appelez “faire de la politique”.
Vous pouvez vous moquer de ceux qui gouvernent à ce jour, il est certain que si les choses doivent changer, ce n’est certainement pas au travers de vous qu’elles changeront sauf à accepter la régression intellectuelle, le sectarisme et l’absence d’humanité.
Parler pour ne rien dire ! Bla bla bla…
Je vous invite à lire la décision du conseil d’Etat… ça vous évitera de dire des conneries.
Posez-vous la question pourquoi le conseil d’Etat n’a pas remboursé les comptes de campagne de engelmann.
Probablement qu’il n’avait pas triché ?
Gauchiasse de merde !
Journaliste de mes couilles !