Thomas était l’agresseur, les rugbymen racistes doivent être jugés

J’ai le don de voyance, c’est ainsi j’ai l’omniscience en moi.

Pour Thomas je l’avais vu venir le coup que les assassins n’était pas les bons. Toutefois, rendons grâce à notre maître, celui qui a été vilipendé pour avoir révélé la réalité des faits, le grand, l’immense Pat Cohen.

Scoop de Patrick Cohen, repris par toute la gauche : le coupable, c’est Thomas !

Pat, il a été meurtri qu’on le traîne dans la fange, même qu’il paraît qu’il y avait des relents d’antisémitisme là-dedans, c’est Appo La Peste Brune qui l’a affirmé et elle s’y connaît, c’est une détecteuse de fafs.

Même si on a appris que malgré les apparences il n’en est pas, à force on arrive plus à suivre, comme avait dit David Guiraud,l’un des porte parole du SS Hamas, faut consulter un généalogiste quand il y a doute.

Bref, ça y est la version initiale est battue en brèche par une enquête des limiers du Parisien qui n’est plus libéré depuis longtemps, depuis son rachat par le vautour Bernard Arnault.

Le Parisien, c’est de la carte de presse de sélection, tu tapes dans une poubelle il y en a 10 qui sortent.

Ils ont recueilli le témoignage d’Ilyes, qui est injustement accusé à tort et il en ressort que le vrai responsable, c’est Thomas le raciste provocateur…

Ilyès Z., alors qu’il est assis « sans rien demander à personne », un rugbyman appelé Thomas L. se met à lui tirer par l’arrière sa longue chevelure brune et bouclée. « Il m’attrape les cheveux et me dit que j’ai les cheveux longs comme Nikita », a assuré le suspect en garde à vue. Cette provocation, une référence aux paroles de la chanson de Jul, ne plaît guère à Ilyès Z. qui, en retour, l’insulte et lui intime de dégager à deux reprises.

Sourire narquois, Thomas L. aurait refusé de s’exécuter. « Allez, tu viens, on va dehors ! » lui aurait alors lancé Ilyès Z. dans le but de s’expliquer de façon virile. Des témoins évoquent une sortie précipitée de la salle d’« un grand brun » suivi de près par le rugbyman.« Cette altercation pourrait être à l’origine de la rixe »…

En plus, dernier rebondissement, l’auteur du malencontreux coup fatal serait un authentique komvouzémoi et même plus, un dénommé Julien.

Voilà tout est clair, c’est une bagarre qui a mal tourné à la suite des provocations racistes des rugbymen qui seront, n’en doutons pas, poursuivis pour ce crime nauséabond.

En fait ce coup de couteau était un acte d’auto-défense dans un climat de haine de l’autre.

Une sommité de la sociologie a d’ailleurs parfaitement résumé ce fait divers chez Barthes, le gauchiste amateur de crêpes au Nutella.

Pierre Rosanvallon, c’est son blaze au parasite social, spécialiste de la spécialité en tout et même le reste, avec sa bonne tête à ne pas laisser traîner les enfants dehors, il a bien expliqué que cette violence est habituelle, fait partie de la vie, c’est même son piment et que tout cette médiatisation insensée est le résultat de la récupération par Betty Monde. Ces péquenots de cette France moisie sont incapables de s’ouvrir aux autres cultures !

Les wesh-wesh et zyvas méritent la réhabilitation et devraient porter plainte contre ce racisme systémique qui s’est déployé sans vergogne à cette occasion et la maire de la ville de Romans devrait être déchue de sa fonction pour son comportement indigne.

Il en reste un qui n’est pas trop convaincu, c’est normal, il est sur la chaîne des fafs : c’est Praud, il devient complotiste, il voit une manipulation, comme si c’était possible …

Vivement le procès des rugbymen !