Décidément, ceux qu’ils appellent les “chances pour la France” sont particulièrement ingrats avec les élus de gauche qui leur apportent leur soutien dans toutes les circonstances. Il y a quelques jours, je vous ai relaté la lâche agression subie par l’ancien maire de Saint-Denis, Patrick Braouezec, sans vous cacher par ailleurs qu’il n’avait fait que subir dans sa chair les conséquences de sa politique immigrationniste, que des millions de compatriotes vivent douloureusement au quotidien.
http://ripostelaique.com/agression-du-depute-braouezec-a-saint-denis-lingratitude-des-racailles.html
Cette fois, c’est une conseillère générale socialiste de Marseille, Marie-Arlette, qui a connu les affres d’une agression par ailleurs intolérable.
On rappellera simplement à cette élue bien-pensantequ’elle n’a fait que connaître le sort de trente Marseillais qui, quotidiennement, dans une ville où l’Etat n’est plus capable d’assurer la sécurité de nos compatriotes, subissent une agression physique. Nous rappellerons à Braouezec comme à Carlotti qu’ils appartiennent à des formations politiques qui mènent des campagnes politiques pour davantage d’immigration en France, et qui qualifient de “racistes” ou de “fascistes” quiconque ose parler de l’insécurité grandissante que connaissent, à Saint-Denis, Marseille et plein d’autres villes, nos compatriotes, et de faire un lien entre immigration et insécurité.
Notre pensée n’ira pas à ces deux élus, qui ne sont pas d’innocentes victimes, mais ont été au contraire les acteurs actifs de leur malheur, et qui doivent s’interroger quant à leur action passée et présente. Elle ira plutôt aux centaines de milliers de nos compatriotes, dont beaucoup y ont laissé leur vie, victimes de la politique criminelle et irresponsable menée par la gauche immigrationniste, mais aussi par une droite capitularde, depuis trente ans.
Paul Le Poulpe