Quand les pédants Aymeric Caron et Natacha Polony se faisaient ramasser par Michel Onfray…

Ce samedi, ils ont, chacun à leur façon, participer au lynchage de Laurent Obertone, comme l’a démontré Caroline Alamachère dans le compte-rendu de la dernière émission “On n’est pas couchés”.

Eric Zemmour aurait défendu Laurent Obertone. Sa remplaçante, Natacha Polony, l’a, de manière condescendante, descendu, se permettant de lui faire la leçon et de la faire passer pour un amateur. Bref, à sa façon, elle a participé au lynchage.

Ne parlons pas du végétarien haineux (comme l’était Hitler, pour reprendre les mêmes méthodes que lui) Aymeric Caron, qui, la bave aux lèvres, avait décidé de se faire le jeune journaliste Laurent Obertone, 28 ans, coupable d’avoir écrit la réalité de l’ensauvagement de la France.

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Avec Michel Onfray, quelques semaines plus tôt, les pédants duettistes avaient essayé de se faire Michel Onfray, certains de leur supériorité intellectuelle. Natacha Polony se permettait de faire la leçon, de manière arrogante et prétentieuse, lui expliquant, telle une maîtresse d’école à un élève “doué, mais qui peut mieux faire”, ce qu’il aurait dû écrire. Elle se fit sécher d’une manière fulgurante : “Votre problème, c’est que vous reprochez aux autres de ne pas avoir écrit le livre que vous auriez aimé écrire”. Reprise de volée fulgurante, éclat de rire de Ruquier et de la salle, Polony sur la civière !

Quant au prétentieux Aymeric Caron, il chercha, avec le manque de modestie qui le caractérise, à faire la leçon au philosophe, notamment sur Sade. L’ignorance de Caron, face à la grande connaissance de Michel Onfray, qui a travaillé son sujet est accablante. Il avoue d’abord qu’il a été chercher des billes chez un admirateur de Sade, détracteur du philosophe normand. Sûr de lui, Caron monte au filet, et essaie de piéger Onfray, en montrant un Sade sympathique, libertin et contre la peine de mort. En voilà un portrait qui plait bien aux bobos parisiens ! Manque de chance, Onfray, impitoyable, montre que ce dernier, n’en déplaise à Caron et à tous les bobos, n’était en aucun cas un libertin, mais un délinquant sexuel, ce qui n’est pas tout-à-fait la même chose. Il a torturé des femmes, et en a tué, ce qui n’est pas tout à fait le libertinage, et c’est pour cela qu’il a été en prison sous trois régimes différents. Caron, bâché une première fois, essaie de se reprendre, et de prouver à Onfray que Sade était opposé à la peine de mort. C’était donc forcément quelqu’un de bien, non ? Avec humour, Michel le ridiculise, en montrant que Sade, soi-disant opposé à la peine de mort, était pour la décapitation de Louis XVI, de Marie-Antoinette et de Charlotte Corday. L’arrogant Caron est resté coi, et silencieux. Bâché ! A savourer. Voir ces prétentieux, Polony et Caron, qui ont roulé des mécaniques devant Laurent Obertone, âgé de 28 ans, seul face à la meute, se faire ramasser par un grand Michel Onfray des grands jours, est un grand moment de bonheur qu’il convient de savourer.

Paul Le Poulpe