Quand on pense aux cris d’orfraie poussés par les prétendus laïques, à chaque saillie de Nicolas Sarkozy, on est confondu devant leur silence assourdissant devant chaque nouvel exploit de l’islamo-collabo qui sert de ministre de l’Intérieur.
Rappelons les principales prouesses passées de celui que ses adversaires de gôche qualifient de “sarkozyste”.
– Il comptait demander aux policiers un récépissé pour chaque contrôle d’identité, sous la pression de ceux qui les accusent de contrôles au faciès racistes. Bien sûr, chacun sait que la majorité des agressions ne sont pas commises par des jeunes à capuches, mais par des mémés à caniches !
– A Villiers-le-Bel, il se précipite au chevet d’une racaille qui a percuté une voiture de police sur un scooter volé, et n’a pas un mot pour défendre ses hommes, accusés d’êtres coupables de la chute du malheureux.
– Il inauture la mosquée de Cergy, et affirme que toute attaque contre une religion est une attaque contre la République.
– Il va rompre le jeune à la Grande Mosquée de Paris, en compagnie des ineffables Boubakeur et Moussaoui.
– Il réagit dans les minutes qui suivent quand deux têtes de cochons sont placées devant la mosquée de Montauban, sans par ailleurs avoir occasionné la moindre dégradation, ni le moindre dommage physique. Présentant ses excuses à toute la communauté musulmane, il se précipite pour rompre à nouveau le jeûne du ramadan… lui qui n’a jamais eu un mot devant les tags et détérioriations sur les églises.
– Voulant équilibrer les choses, et ne pas passer pour un ministre de l’Intérieur trop islamo-collabo, il assiste, ce samedi, à une béatification, à Troyes, et rend hommage à la kippa des juifs !
Demain, pour compléter un palmarès de servilité envers les cultes que même Nicolas Sarkozy n’avait jamais atteint, il ira inaugurer la mosquée radicale de Strasbourg, pas dérangé, apparemment, par la présence de l’islamiste Mustafa Ceric, ni par, en période de crise, les dons de la mairie (610.000 euros), du conseil général du Bas-Rhin (510.000 eurosà, ni du conseil régional d’Alsace (420.000 euros), et pas davantage par ceux de l’Arabie saoudite et du Koweit…
Joachim Véliocas, qui, dans son livre “Ces maires qui courtisent l’islamisme” avait épinglé le socialiste Roland Ries, nous explique les dessous de cette inauguration scandaleuse.
Article 2 de la loi de 1905 : la République ne reconnaît, ne salarie et ne subventionne aucun culte.
Houhou, les francs-maçons, houhou, Fourest, houhou, Mélenchon-Corbière, houhou le Cnafal, houhou, l’Ufal, houhou Copé-Fillon, on ne vous entend pas…
Paul Le Poulpe